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Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 4A - Rajouté le 18/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Komen jullie daar soms vandaan ? » (« Venez-vous par hasard de là-bas ? »).
Bien que « vanDAAN » réagisse comme une « particule séparable » (REJET à la fin de la phrase), ce mot n’en est pas une. Il exprime une notion de provenance.
Une forme ancienne en était vraisemblablement « vanDAAR », dans la langue parlée.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 3B - Rajouté le 17/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Henri Dunant heeft zich in de omgeving van Solferino teruggetrokken » (« Henri Dunant s’est retiré dans les environs de Solférino »).
On y trouve notamment la forme verbale « TERUGgeTROKKEN », participe passé du verbe « TERUGtrekken » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « TERUGtrekken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « terugGEtrokken ».
Il est à noter que ce participe passé du verbe « TREKKEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le « complément » (« in de omgeving van Solferino »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 3A 2F - Rajouté le 16/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mevrouw Dunant, uw vriendin uit Zwitserland, is net aangekomen » (« Madame Dunant, votre amie de Suisse, est juste arrivée = vient d’arriver »).
On y trouve notamment la forme verbale « AANgeKOMEN », participe passé du verbe « AANkomen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANkomen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEkomen ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le « complément » (ici « NET »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage réalisé par nos soins d’illustrations extraites des pages 2 et 3 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 2E - Rajouté le 15/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er kwam net bezoek voor Mevrouw » (« Il venait juste de la visite pour Madame / Il venait de la visite convenable pour Madame »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAMEN », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe est introduit par le pronom « impersonnel » « ER » qui, suivi de quasi n’importe quel verbe à part « HEBBEN », rend la notion de « IL Y A ».
Notez l’utilisation ambiguë de « NET » qui, en l’occurrence peut signifier deux choses relativement différentes.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 2D - Rajouté le 14/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waarom vielen die kerels u eindelijk lastig ? » (« Pourquoi ces types vous importunaient-ils en fin de compte ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « vielen … LASTIG », O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « LASTIGvallen », dit « à particule séparable », construit sur l’infinitif « VALLEN ».
Quand « LASTIGvallen » est « conjugué », cela entraîne en néerlandais un REJET et une séparation de la particule « LASTIG » (provenant d’un adjectif), derrière les compléments (« U » et « eindelijk »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 2C - Rajouté le 13/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dan nodig ik jullie uit » (« Alors je vous invite »).
On y trouve notamment la forme verbale « nodig … UIT », provenant de l’infinitif « UITnodigen », verbe dit « à particule séparable ».
Quand « UITnodigen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, le complément « JULLIE » s’intercalant entre eux et la particule « UIT » fait donc l’objet d’un REJET à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« DAN »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « nodig ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 2B - Rajouté le 12/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die jongens kwamen mij ter hulp » (« Ces garçons me venaient en aide »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAMEN », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Notez l’expression « teR hulp komen » ; de nos jours, on a tendance à laisser tomber le « -R » et à dire plutôt « te hulp komen ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 1E 2A - Rajouté le 11/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jullie dachten dat ik jullie niet (had) gezien had » (« Vous pensiez que je ne vous avais pas vus »).
On y trouve notamment dans la phrase principale, la forme verbale « DACHTEN » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « DENKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « HAD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cet auxiliaire « HEBBEN » est ici utilisé au temps composé du V.V.T. (plus-que-parfait) et, s’il fait ici l’objet d’un « REJET », c’est parce qu’il se trouve dans une phrase subordonnée.
On y trouve donc aussi la forme verbale « geZIEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « jullie »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage réalisé par nos soins d’illustrations extraites des pages 1 et 2 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 1D - Rajouté le 10/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die heren vallen die dame lastig » (« Ces messieurs importunent cette dame »).
On y trouve notamment la forme verbale « vallen … LASTIG », provenant du verbe « LASTIGvallen », dit « à particule séparable », construit sur l’infinitif « VALLEN ».
Quand « LASTIGvallen » est « conjugué », cela entraîne en néerlandais un REJET et une séparation de la particule « LASTIG » (provenant d’un adjectif), derrière le complément (« die dame »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 1C - Rajouté le 09/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Kan u ons zeggen hoe het onderhoud tussen Napoleon III en de Oostenrijkse gezant verliep ? » (« Pouvez-vous nous dire comment se déroula l’entretien entre Napoléon III et le représentant autrichien ? »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « VERLIEP », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VERLOPEN » (PAS un verbe dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « LOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette forme verbale « VERLIEP » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« tussen Napoleon III en de Oostenrijkse gezant »), à la fin de la phrase.
Rappelons (même s’il s’agit bien ici de l’O.V.T.) que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- » (qui n’est PAS une « particule séparable »), son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 1B - Rajouté le 08/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik denk er niet aan ! » (« Je n’y pense pas ! »).
Malgré les apparences, on n’a pas affaire dans cette phrase à un verbe dit « à particule séparable » (« aandenken » n’existe d’ailleurs pas).
On y trouve en fait un adverbe pronominal personnel « séparé » (car séparable ) : « ER … AAN ». On aurait pu trouver les variantes suivantes : « Ik denk niet ERaan ! », « Ik denk niet DAARaan ! » ; « Ik denk DAAR niet aan ! ».
Si l’on parle d’adverbe pronominal, c’est parce que sa partie « PRO-nom » remplace le nom commun (par exemple, « het idee »). On aurait dès lors pu avoir la variante : « Ik denk niet AAN het idee ». Donc « erAAN » remplace bien « AAN het idee ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : MOLENAAR STUIVENBERG EN LAATSTE KABOUTER PAYRO - Rajouté le 07/04/2013

Description : Roberto J. PAYRO (1867-1928) werkte als Argentijnse journalist van La Nación in België, tussen 1909 en 1923. Tijdens de Eerste Wereldoorlog, was hij tegen de neutraliteit van Argentinië omdat de Duitsers de Argentijnse vertegenwoordiger neergeschoten hadden. De Duitsers hebben dan PAYRO belet als journalist verder te werken. Hij is dus begonnen Belgische legenden te verzamelen. Hij werd vriend, o. a., van Isidoor TEIRLINCK. De tekst « El molinero de Stuivenberg y el último Kabúter » werd, eerst, op 12 december 1926 in La Nación van Buenos Aires uitgegeven, daarna in El Diablo en Bélgica (1953) verzameld. Die tekst bestaat al in het Frans in Le Diable en Belgique (IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 1A - Rajouté le 07/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (Robert en Bertrand) hebben hun beschermeling (Joeki) naar de kostschool (…) gebracht » (« Ils ont amené leur protégé au pensionnat / à l’internat »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le singulier du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEBRACHT » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« hun beschermeling » et « naar de kostschool »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN HOMMAGE DUNANT ROBERT EN BERTRAND - Rajouté le 07/04/2013

Description : Nous reproduisons et avons transposé en langue française la postface, anonyme et sans titre, hommage à Henry Dunant, dans De hel van Solferino. (« Robert et Bertrand », N°35) les biographies manquant beaucoup comme source de lecture aux générations actuelles d’adolescents.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ce texte est reproduit avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1978-2013.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 31D - Rajouté le 06/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nadat de soldaten ontscheept zijn, wordt het vertreksein gegeven » (« Après que les soldats ont débarqué, le signal du départ est donné »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « ONTscheept », participé passé provenant de l’infinitif « ONTschepen ». Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « P », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Signalons dès lors que, si « ONTscheept » est ici au V.T.T. (ou passé composé), il aurait été écrit de la même façon à l’O.T.T. (ou indicatif présent).
On y trouve également, dans la phrase principale, la forme verbale « GEGEVEN », participe passé provenant de l’infinitif « GEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEGEVEN » est construit sur l’INFINITIF. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEGEVEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« dadelijk »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Nadat de soldaten ontscheept zijn » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « het vertreksein ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « wordt ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase principale est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 31C - Rajouté le 05/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het schip legt weer aan om de lading aan boord te nemen » (« Le navire accoste à nouveau pour prendre le chargement à bord »).
On y trouve aussi la forme verbale « legt … AAN », provenant de l’infinitif « AANleggen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « LEGGEN », verbe régulier.
Quand « AANleggen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » qui fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « weer »), à la fin de la phrase principale.
En effet, on y trouve aussi, dans une sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), les compléments (« de lading » et « aan boord ») intercalé entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « NEMEN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 31B - Rajouté le 04/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Aan boord van het schip werd het schot opgemerkt » (« A bord du navire, le tir fut remarqué »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPgemerkt », provenant de l’infinitif « OPmerken » (dit « à particule séparable »), lui-même conjugué sur « MERKEN », considéré comme « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « MERKEN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera le « T » minoritaire. La forme verbale « opGEmerkt » est à « particule séparable » puisque le « GE » du participe passé s’intercale entre la particule « OP » et la forme verbale proprement dite.
Cette phrase est aussi à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« Aan boord van het schip »), à la fin de la phrase.
Ce n’est pas évident ici, dans la mesure où, la phrase commençant par le complément (« Aan boord van het schip »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (« het schot ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « werd ») et passant donc derrière lui.
C’est plus clair que le participe passé fait l’objet d’un REJET, à la fin de la phrase, si l’on écrit : « Het schot werd aan boord van het schip opgemerkt ».

La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 31A - Rajouté le 03/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het idee wordt uitgevoerd » (« L’idée est exécutée = concrétisée »).
On y trouve notamment la forme verbale « UITgevoerd », provenant de l’infinitif « UITvoeren » (dit « à particule séparable »), lui-même conjugué sur « VOEREN », considéré comme « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « VOEREN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire. La forme verbale « uitGEvoerd » est à « particule séparable » puisque le « GE » du participe passé s’intercale entre la particule « UIT » et la forme verbale proprement dite.
Cette phrase est aussi à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door hen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 30C - Rajouté le 02/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De roeiers verenigen al hun krachten om de verloren tijd in te halen » (« Les rameurs réunissent toutes leurs forces pour rattraper le temps perdu »).
On y trouve notamment, dans la phrase « subordonnée infinitive », la forme verbale « in … halen », provenant du verbe « INhalen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif « HALEN ».
Quand « INhalen » est « conjugué », dans cette sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), le complément (« de verloren tijd ») est intercalé entre le « OM » et le « TE », placé juste après la « particule séparable » « IN » et juste devant l’infinitif « HALEN » proprement dit.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 30B - Rajouté le 01/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een ogenblik later maakt een ontploffing de weg vrij » (« Un instant plus tard, une explosion fait le chemin libre = libère le passage »).
On y trouve notamment la forme verbale « maakt … VRIJ », provenant du verbe « VRIJmaken », dit « à particule séparable », construit sur l’infinitif « MAKEN ».
Quand « vrijMAKEN » est « conjugué », cela entraîne en néerlandais un REJET et une séparation de la particule « VRIJ » (provenant d’un adjectif), derrière le complément (« de weg »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Een ogenblik later »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « een ontploffing ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « maakt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 30A - Rajouté le 31/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De drijvende vuurhaard wordt samen met de hond door de stroming meegevoerd » (« Le foyer = brûlot flottant est emporté en même temps que le chien par le courant »).
On y trouve notamment la forme verbale « MEEgevoerd », provenant de l’infinitif « MEEvoeren » (dit « à particule séparable »), lui-même conjugué sur « VOEREN », considéré comme « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « VOEREN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire. La forme verbale « meeGEvoerd » est à « particule séparable » puisque le « GE » du participe passé s’intercale entre la particule « MEE » et la forme verbale proprement dite.
Cette phrase est aussi à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« samen met de hond » et « door de stroming »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas enfin que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « DRIJVEN » => « drijvenD ». Ici, ce participe présent est utilisé comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder, prend la terminaison majoritaire « E » => « de drijvendE vuurhaard ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 29D - Rajouté le 30/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Onder een regen van kogels knaagt de hond met haar sterke tanden het touw van het vlot door » (« Sous une pluie de balles, la chienne ronge, avec ses fortes dents, la corde du radeau »).
On y trouve notamment la forme verbale « knaagt … DOOR », construite sur le verbe « DOORknagen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KNAGEN ».
Quand « DOORknagen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « DOOR » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière les compléments (« met haar sterke tanden » et « het touw van het vlot ») à la fin de la phrase.
N’oublions pas non plus que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Onder een regen van kogels »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet de la phrase principale (ici « de hond ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « knaagt ») et passant donc derrière lui.
Si l’on avait un doute sur le sexe de Bessy, « de hond knaagt met HAAR sterke tanden het touw van het vlot door » confirme qu’il s’agit bien d’une chienne. Si Bessy avait été un mâle, on aurait dû avoir : « de hond knaagt met ZIJN sterke tanden het touw van het vlot door ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 29C - Rajouté le 29/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als een roeier het brandend vlot wil verwijderen wordt het achterdek met kogels doorzeefd » (« Si / quand = chaque fois que un rameur veut écarter le radeau flambant = le brûlot, le pont arrière est criblé de balles »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « DOORzeefd », participe passé construit sur l’infinitif « DOORzeven », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « DOORzeven » est donc bien considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est PAS affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « F », on trouvera le « D » majoritaire au participe passé.
« DOORzeven » N’est cependant PAS un verbe dit « à particule séparable », sans quoi on aurait dû / pu avoir, après l’ancienne préposition « DOOR » le suffixe « GE- », commun à une majorité de participes passés. Au prétérit, on aurait eu, par exemple : « Ze doorzeefden het achterdek met kogels ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « met kogels »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas non plus que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Als een roeier het brandend vlot wil verwijderen » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet de la phrase principale (ici « het achterdek ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « WORDT ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est donc à la voix passive, puisque l’on utilise l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
N’oublions pas enfin que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « BRANDEN » => « brandenD ». Ici, ce participe présent est utilisé comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder, doit prendre la terminaison majoritaire « E » => « het brandendE vlot ». Il y a donc une « faute de frappe » …
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 29A - Rajouté le 27/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze hebben een versperring onder water aangelegd » (« Ils ont dressé = érigé un barrage en-dessous de l’eau »).
On y trouve aussi la forme verbale « AANgelegd », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « AANleggen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « LEGGEN », verbe régulier.
Quand « AANleggen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGElegd ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « een versperring » et « onder water »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 28B - Rajouté le 26/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Met de hulp van een vlot wordt de versperring met rotsblokken verzwaard » (« Avec l’aide d’un radeau, le barrage est alourdi = renforcé par des blocs de rochers »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERzwaard », participe passé construit sur l’infinitif « VERzwaren » (lui-même en quelque sorte construit sur l’adjectif « ZWAAR »), qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « VERzwaren » est donc bien considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est PAS affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire au participe passé.
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « met rotsblokken »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas non plus que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Met de hulp van een vlot »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de versperring ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « WORDT ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 28A - Rajouté le 25/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dan is de tijd voor het vertrek aangebroken » (« Alors le temps du départ est entamé = est venu »).
On y trouve notamment la forme verbale « AANgebroken », participe passé provenant de l’infinitif « AANbreken », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « BREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANbreken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEbroken ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « NU »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas non plus que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« DAN »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de tijd voor het vertrek ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « IS ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE VERLIEZEN VERLOREN VTT 22A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zonder zwaard ben ik verloren ! » (« Sans épée, je suis perdu ! »). On y trouve notamment la forme verbale « verloren », participe passé provenant de l’infinitif « verLIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Zonder zwaard »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « BEN ») et passant donc derrière lui. Le participe passé « verloren » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« tegen de ijsbeer »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE OPNEMEN OPGENOMEN VERZORGEN VERZORGD VTT 34E - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We hebben je opgenomen en verzorgd » (« Nous t’avons pris en charge = recueilli et soigné … »). On y trouve notamment la forme verbale « « OPgenomen », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « opNEMEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Quand « OPnemen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEnomen ». On y trouve également la forme verbale « VERzorgd », participe passé construit sur l’infinitif « VERzorgen », lui-même construit sur le verbe « ZORGEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Ce verbe « VERzorgen » est donc bien considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est PAS affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire au participe passé. Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 34 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE BEREIKEN BEREIKT 17B - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We hebben de grenzen van het Noorderland bereikt » (« Nous avons atteint les frontières du pays du Nord »). On y trouve notamment la forme verbale « BEREIKT », participe passé provenant de l’infinitif « BEREIKEN ». Ce verbe « BEREIKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire). Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. Le hasard fait que le participe passé est identique à la 2ème ou 3ème personne du présent. Ce participe passé « BEREIKT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de grenzen van het Noorderland »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE TOESTEMMEN STEM TOE OTT 13A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Stem je toe ? … » (« Marques-tu ton accord ? … »). On y trouve la forme verbale « stem … TOE », provenant de l’infinitif « TOEstemmen » (verbe à « particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « STEMMEN ». Quand ce verbe « TOEstemmen » est conjugué, la particule « TOE » se sépare donc de l’infinitif « STEMMEN » proprement dit et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« een grootmoedig voorstel »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE BIJSTAAN STA BIJ IMPERATIF 25B - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Sta me bij ! » (« Viens à mon aide ! = Protège-moi ! »). On y trouve la forme verbale « sta … BIJ », impératif provenant de l’infinitif « BIJstaan », verbe à « particule séparable », lui-même construit sur le verbe « STAAN ». Quand ce verbe « BIJstaan » est conjugué, la particule « TERUG » se sépare donc de l’infinitif « STAAN » proprement dit et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« in mijn moeilijkheden »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE VERKIEZEN VERKOZEN VTT 12A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Sinds wanneer worden gewone stervelingen door u verkozen boven ons ? » (« Depuis quand de simples mortels, choisis par vous, sont-ils au-dessus de nous ? »). On y trouve notamment la forme verbale « verkozen », participe passé provenant de l’infinitif « verKIEZEN », lui-même construit sur le verbe « KIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE AANREIKEN REIK AAN 33A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Reik hem (Johan) de beker van de vergeteLheid (< « vergeteN ») aan ! » (« Tends-lui la coupe de l’oubli ! »). On y trouve notamment la forme verbale « reik … AAN », provenant de l’infinitif « aanREIKEN » (dit à « particule séparable »), construit sur le verbe « REIKEN ». La « particule séparable » « AAN » fait (à l’impératif) l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de beker » et « van de vergetelheid »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 33 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE OPRICHTEN RICHT OP OTT 21B - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Plots richt het monster zich op voor het aanval » (« Soudain le monstre se dresse pour l’attaque »). On y trouve notamment la forme verbale « richt … OP », provenant de l’infinitif « OPrichten » (dit à « particule séparable »), construit sur le verbe « RICHTEN ». La « particule séparable » « OP » devrait faire l’objet d’un REJET, derrière le complément (« voor het aanval »), à la fin de la phrase : « Plots richt het monster zich voor het aanval OP ». N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Plots »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « het monster ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « richt ») et passant donc derrière lui. La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE ACHTERLATEN ACHTERGELATEN VTT 34D - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Na een vreselijke veldslag, werd je voor dood achtergelaten » (« Après une terrible bataille, tu as été laissé (derrière) pour mort »). On y trouve notamment la forme verbale « ACHTERgeLATEN », participe passé du verbe « ACHTERlaten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « LATEN ». Quand « ACHTERlaten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « ACHTER » (ancienne préposition) de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « achterGElaten ». N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Na een vreselijke veldslag »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « JE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « WERD ») et passant donc derrière lui. Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ». La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 34 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE GENEZEN VTT 9A VOIX PASSIVE - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn wonden ? … Genezen ? … » (« Mes blessures ? … Guéries ? … »). On y trouve notamment la forme verbale « GENEZEN », participe passé provenant de l’infinitif « GENEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Rappelons par ailleurs que si un verbe commence déjà par le préfixe « GE- », on ne rajoutera pas une deuxième fois le préfixe « GE- » (commun à la majorité d’entre eux) à son participe passé. Cela contribue au fait que le participe passé et l’infinitif sont identiques. Notons que dans ce cas-ci de l’utilisation du participe passé « GENEZEN », on peut imaginer deux auxiliaires possibles : 1°) « Mijn wonden zijn genezen ». La phrase est alors au passé composé, avec l’auxiliaire « ZIJN » et il constate le fait : ses blessures sont guéries. 2°) « Door wie werden mijn wonden genezen ? … ». La phrase est alors à la voix passive, avec l’auxiliaire « WORDEN » et il demande par qui (ou à la suite de quel miracle, en l’occurrence) ses blessures ont été guéries. La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE OPWINDEN OPGEWONDEN VTT 24B - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar hij (Urias) krijst opgewonden wanneer zijn scherpe ogen voetafdrukken in de sneeuw waarnemen » (« Mais il pousse un cri excité = d’excitation quand ses yeux aigus = sa vue perçante aperçoivent des empreintes de pieds = des traces de pas dans la neige »). On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale (utilisée ici comme adjectif épithète) « OPgewonden », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « opWINDEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « WINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Quand « OPwinden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEwonden ». La forme verbale « waarnemen » fait l’objet d’un REJET, dans la phrase subordonnée, derrière les compléments (« voetafdrukken in de sneeuw »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE KEER TERUG TERUGKEREN IMPERATIF 5A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Keer terug, mannen van het Noorden ! » (« Retournez = rebroussez chemin, hommes du Nord ! »). On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « keer … TERUG », impératif provenant de l’infinitif « TERUGkeren », verbe à « particule séparable ». Quand ce verbe « TERUGkeren » est conjugué, la particule « TERUG » se sépare donc de l’infinitif « KEREN » proprement dit et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« naar jullie land »), à la fin de la phrase. Cette particule « TERUG » est très fréquente en néerlandais puisqu’elle correspond au préfixe « RE- » (exemple : RE-venir), rendant la notion de RETOUR. Il est à noter que dans la mesure où on s’adresse à plusieurs « mannen », on aurait dû avoir plutôt la forme verbale et la phrase suivantes : « Keren jullie terug, mannen van het Noorden ! » La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE BEREIKEN BEREIKT 23A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Inmiddels heeft zij de ijsgrotten bereikt » (« Entretemps elle a atteint les grottes de glace »). On y trouve notamment la forme verbale « BEREIKT », participe passé provenant de l’infinitif « BEREIKEN ». Ce verbe « BEREIKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire). Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. Le hasard fait que le participe passé est identique à la 2ème ou 3ème personne du présent. Ce participe passé « BEREIKT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de grenzen van het Noorderland »), à la fin de la phrase. N’oublions pas non plus que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Inmiddels »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ZIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « HEEFT ») et passant donc derrière lui. La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE VERLIEZEN VERLOREN VTT 25A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Indien hij (Johan) niet spoedig komt, ben ik verloren ! » (« S’il ne vient pas vite, je suis perdue ! »). On y trouve notamment la forme verbale « verloren », participe passé provenant de l’infinitif « verLIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Indien hij niet spoedig komt » jouant ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « BEN ») et passant donc derrière lui. Le participe passé « verloren » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« tegen de slang »), à la fin de la phrase. Notez que la conjonction introduisant la phrase subordonnée est ici « INDIEN », exprimant davantage la CONDITION (« SI ») que « ALS », signifiant plutôt « quand ». La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE SPREKEN SPRAK OVT 34F - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In jouw koortsdromen sprak je vaak over het Walhalla » (« Dans tes rêves de fièvre = ton délire, tu parlais souvent du Valhalla »). On y trouve notamment la forme verbale « SPRAK », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « SPREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« In jouw koortsdromen »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « JE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « SPRAK ») et passant donc derrière lui. La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 34 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE AFLIGGEN AFGELEGEN VTT 34B - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In een afgelegen hoeve bij de kust … » (« Dans une ferme retirée près de la côte … »). On y trouve, utilisée comme adjectif épithète, la forme verbale « AFgelegen », participe passé provenant de l’infinitif « AFliggen » (n’existant plus ? …), lui-même construit sur « LIGGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Quand « AFliggen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGElegen ». La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 34 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE INHAKKEN HAKT IN OTT 26A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij hakt uit alle macht op het monster in » (« Il entaille / frappe de toutes ses forces sur le monstre »). On y trouve notamment la forme verbale « hakt … IN », provenant de l’infinitif « INhakken » (dit à « particule séparable »), construit sur le verbe « HAKKEN ». La « particule séparable » « IN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« uit alle macht » et « op het monster »), à la fin de la phrase. Notez l’utilisation de la préposition « UIT » dans l’expression « uit alle macht » : il va puiser dans toutes ses ressources physiques, il donne le meilleur DE (origine) lui-même (cela SORT de son corps). La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE DOORKOMEN KOMEN DOOR OTT 5B - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hier komen jullie niet door ! » (« Ici, vous ne passez = passerez pas ! »). On y trouve notamment la forme verbale « komen … DOOR », provenant de l’infinitif « DOORkomen » (dit à « particule séparable »), construit sur le verbe « KOMEN ». La « particule séparable » « DOOR » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément sous-entendu (« langs het dal »), à la fin de la phrase. Il est à noter que l’on aurait dès lors pu avoir la construction de phrase suivante : « Hier komen jullie door het dal niet ! », antérieure à la formation du verbe « à particule séparable », quand « DOOR » était encore une préposition. N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« HIER »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « JULLIE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « KOMEN ») et passant donc derrière lui. La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE UITEENSLAAN SLAAT UITEEN OTT 16A 17A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het volgende ogenblik slaat een bliksemflits de stormreus uiteen » (« A l’instant suivant, un éclair frappe en séparant / disperse avec violence le géant de la tempête »). On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « slaat … UITEEN », provenant de l’infinitif « UITEENslaan », verbe à « particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SLAAN ». Quand ce verbe « UITEENslaan » est conjugué, la particule « UITEEN » se sépare donc de l’infinitif « SLAAN » proprement dit et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« in de lucht »), à la fin de la phrase. N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Het volgende ogenblik »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « een bliksemflits ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « slaat ») et passant donc derrière lui. La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 16 et 17 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE VERBERGEN VERBORGEN VTT AFWACHTEN WACHT AF 24A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Goed verborgen, wacht zij met kloppend hart de gebeurtenissen af » (« Bien cachée, elle attend les événements, le cœur battant »). On y trouve notamment, dans une sorte de phrase subordonnée, la forme verbale « verborgen », participe passé (utilisé comme adjectif) provenant de l’infinitif « verbergen », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. On y trouve également, dans la phrase principale, la forme verbale « wacht … AF », construite sur le verbe « AFwachten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « WACHTEN ». La particule séparable « AF » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« met kloppend hart » et « de gebeurtenissen »), à la fin de la phrase. N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Goed verborgen »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ZIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « WACHT ») et passant donc derrière lui. N’oublions pas non plus que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « KLOPPEN » => « kloppenD ». Ici, ce participe présent est utilisé comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder (s’il ne s’était pas trouvé devant un nom NEUTRE, non précédé d’un déterminant), aurait dû prendre la terminaison majoritaire « E » => « HET kloppenE hart ». La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE OVERGEVEN GEEF OVER IMPERATIF 6A 7A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Geef je over ! » (« Rends-toi ! »). On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « geef … OVER », impératif provenant de l’infinitif « OVERgeven », verbe à « particule séparable ». Quand ce verbe « OVERgeven » est conjugué, la particule « OVER » se sépare donc de l’infinitif « GEVEN » proprement dit et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« aan ons »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 6 et 7 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE OVERBLIJVEN BLIJFT OVER OTT 11A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er blijft slechts een mogelijkheid over ! » (« Il y a seulement une possibilité qui reste = Il ne reste qu’une possibilité ! »). On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « blijft … OVER », provenant de l’infinitif « OVERblijven », verbe à « particule séparable ». Quand ce verbe « OVERblijven » est conjugué, la particule « OVER » se sépare donc de l’infinitif « BLIJVEN » proprement dit et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« een mogelijkheid »), à la fin de la phrase. Rappelons aussi que l’utilisation du pronom sujet « ER » est l’indication que l’on est confronté à l’équivalent de l’expression française « IL Y A ». En langue néerlandaise, le verbe « avoir » peut y être remplacé par quasi n’importe quel autre verbe. Signalons que l’on peut souvent construire à partir d’un adjectif-adverbe se terminant par « -(EL)IJK » (prononcé « EK ») des noms, en y rajoutant le suffixe « -HEID » : « mogelijk » => « mogelijkHEID » ; notons aussi que leur pluriel sera en « -HEDEN » : « mogelijkHEID » => « mogelijkHEDEN ». La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE DOEN GEDAAN VTT 33B - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « En wij zullen nooit vergeten wat je (hebt) gedaan hebt » (« Et nous n’allons jamais oublier = n’oublierons jamais ce que tu as fait »). Dans la phrase principale , on a la forme verbale « ZULLEN », provenant de l’infinitif « ZULLEN », auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au futur simple. N’oublions pas que « ZULLEN », auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au futur simple, exige le REJET de l’autre verbe (« vergeten »), à l’infinitif, derrière le complément (ici « NOOIT »), à la fin de la phrase. Nous avons rendu en français cet auxiliaire par un « futur proche », moins déroutant pour les francophones. On y trouve également, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « GEDAAN », participe passé provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 33 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE SLUIPEN GESLOPEN VTT 21A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een hongerige ijsbeer is geruisloos dichterbij geslopen » (« Un ours blanc affamé s’est faufilé en silence tout près = approché silencieusement »). On y trouve notamment la forme verbale « geslopen », participe passé construit sur le verbe « SLUIPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Le participe passé « geslopen » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« geruisloos » et « dichterbij »), à la fin de la phrase. Notons aussi que, aux temps composés, les verbes relatifs au MOUVEMENT sont, en néerlandais, accompagnés de l’auxiliaire « ZIJN ». La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE ONTSCHEPEN ONTSCHEEPT VTT 4A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De Vikings zijn reeds ontscheept » (« Les Vikings ont déjà débarqué »). On y trouve notamment la forme verbale « ONTscheept », participé passé provenant de l’infinitif « ONTSCHEPEN ». Ce verbe « ONTSCHEPEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « P », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire). Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. Signalons dès lors que, si « ONTscheept » est ici au V.T.T. (ou passé composé), il aurait été écrit de la même façon à l’O.T.T. (ou indicatif présent). Le participe passé « ONTscheept » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« reeds »), à la fin de la phrase. Notons aussi que, aux temps composés, les verbes relatifs au MOUVEMENT sont, en néerlandais, accompagnés de l’auxiliaire « ZIJN ». La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE BIJKOMEN BIJGEKOMEN VTT 34C - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De ridder is bijgekomen » (« Le chevalier est revenu à lui = a repris connaissance … »). On y trouve notamment la forme verbale « BIJgeKOMEN », participe passé du verbe « BIJkomen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KOMEN ». Quand « BIJkomen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « BIJ » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « bijGEkomen ». La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 34 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE UITSTRALEN STRAALT UIT OTT 25C - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De magische speerpunt straalt een schitterend licht uit » (« La pointe de la lance magique irradie une lumière éblouissante »). On y trouve notamment la forme verbale « straalt … UIT », provenant de l’infinitif « UITstralen » (dit à « particule séparable »), construit sur le verbe « STRALEN ». La « particule séparable » « UIT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« een schitterend licht »), à la fin de la phrase. N’oublions pas que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « SCHITTEREN » => « schitterenD ». Ici, ce participe présent est utilisé comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder, aurait dû aurait dû prendre la terminaison majoritaire « E » (devant un nom masculin ou féminin au singulier ou bien un nom au pluriel : « de schitterendE lichten ») mais « LICHT » est « NEUTRE » et est précédé de « EEN », ce qui constitue la principale exception ... La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE TOEGANG GEVEN TOT 3A 2C - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De hemelboogbrug geeft toegang tot het Walhalla » (« Le pont de la voûte céleste donne accès au Valhalla »). On y trouve une expression, « toegang geven », qui engendre la préposition « TOT ». La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 3 et 2 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE PLAATSMAKEN MAKEN PLAATS OTT 34A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De gestalten vervagen en maken plaats voor een duizelingwekkend visioen » (« Les silhouettes deviennent vagues = s’estompent et font place à une vision éveillant un vertige = vertigineuse »). On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « maken … PLAATS », provenant de l’infinitif « PLAATSmaken », verbe à « particule séparable », lui-même construit sur le verbe « MAKEN ». Quand ce verbe « PLAATSmaken » est conjugué, la particule « PLAATS » (un nom) se sépare donc de l’infinitif « MAKEN » proprement dit et aurait pu faire l’objet d’un REJET, derrière le complément (« voor een duizelingwekkend visioen »), à la fin de la phrase : « De gestalten (…) maken voor een duizelingwekkend visioen PLAATS ». N’oublions pas que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « WEKKEN » => « wekkenD ». Ici, ce participe présent est utilisé comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder, devrait prendre la terminaison majoritaire « E » (notamment au PLURIEL) => « duizelingwekkendE visioenEN » (mais ici, nous avons affaire à une exception, un nom neutre (« HET visioen »), précédé du déterminant indéfini « EEN »). La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 34 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE UITVERKIEZEN UITVERKOREN VTT 8A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daar is de uitverkorene ! » (« Là se trouve l’élu ! »). On y trouve notamment, utilisée comme nom, la forme verbale « UITverkoRen », participe passé provenant de « UITverkoZen », provenant lui-même de « UITverkieZen, construit sur l’infinitif « verKIEZEN », lui-même construit sur le verbe « KIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« DAAR »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de uitverkorene ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « IS ») et passant donc derrière lui. La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE AANHEFFEN HEFFEN AAN 7B - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Bij het verschijnen van deze nieuwe vijand, heffen de Noormannen een woest gebrul aan » (« A l’apparition de ce nouvel ennemi, les Normands entonnent un hurlement sauvage »). On y trouve notamment la forme verbale « heffen … AAN », provenant de l’infinitif « aanHEFFEN » (dit à « particule séparable »), construit sur le verbe « HEFFEN ». La « particule séparable » « AAN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« een woest gebrul »), à la fin de la phrase. N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Bij het verschijnen van deze nieuwe vijand »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de Noormannen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « heffen ») et passant donc derrière lui. La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE TREFFEN GETROFFEN VTT 22B - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als door de bliksem getroffen, rolt de beer levensloos in de sneeuw » (« Comme touché par l’éclair, l’ours roule sans vie dans la neige »). On y trouve notamment la forme verbale « getroffen », participe passé construit sur le verbe « TREFFEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Notons que l’on peut rendre la préposition « SANS » en ajoutant le suffixe « -LOOS » à la fin d’un mot : « zonder leven = levensLOOS ». La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE OPHOUDEN HOUDT OP OTT 25D - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als bij toverslag, houdt het sneeuwen op » (« Comme d’un coup de baguette magique = par magie, le fait de neiger = la neige s’arrête »). On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « houdt … OP », provenant de l’infinitif « OPhouden » (dit à « particule séparable »), construit sur le verbe « HOUDEN ». La « particule séparable » « OP » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« dadelijk » ou « plotseling »), à la fin de la phrase. N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Als bij toverslag »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « het sneeuwen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « HOUDT ») et passant donc derrière lui. Rappelons aussi que si, en langue néerlandaise, on ne connaît pas un substantif ou nom - exemple : « het voedsel » = « la nourriture » - , on peut recourir à l’infinitif du même champ thématique : « ETEN » (= « manger »). On le transforme en nom neutre, en lui adjoignant le déterminant défini neutre « HET » => « het eten » (= « LE manger », comme disent parfois les bambins francophones). Dans ce cas-ci, on est parti de l’infinitif « SNEEUWEN » (= « neiger »). On aurait évidemment pu trouver : « Als bij toverslag, houdt DE SNEEUW op ». La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND VERBERGEN VERBORGEN VTT 22B - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij houdt hem (Joeki) in het paviljoen verborgen ! » (« Elle le tient caché dans le pavillon ! »). On y trouve notamment la forme verbale « VERBORGEN », participe passé (utilisé ici comme adjectif) construit sur le verbe « VERBERGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit et, dans ce cas, est identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.) La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ». Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND WORDEN GEWORDEN VTT 8A 6 - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Na enkele dagen zijn ze (Robert en Bertrand) nog niets wijzer geworden » (« Quelques jours plus jours, ils ne sont encore en rien devenus plus éclairés = ils n’en savent toujours pas plus »). On y trouve notamment la forme verbale « GEWORDEN », participe passé provenant de l’infinitif « WORDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Cette forme verbale est, comme on le voit, construite sur l’INFINIF. (Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.) La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 6 et 8 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ». Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND BRENGEN BRACHT 7C 6A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik bracht boodschappen naar het kasteel ! » (« J’apportais des emplettes au château ! »). On y trouve notamment la forme verbale « BRACHT », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 6 et 7 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ». Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND TREFFEN GETROFFEN VTT 26A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het pistoolschot heeft haar toevallig getroffen ! » (« Le coup de revolver l’a par hasard atteinte ! »). On y trouve notamment la forme verbale « getroffen », participe passé construit sur l’infinitif « treffen », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit et, dans ce cas, est identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.) La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ». Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND MISLOPEN MISGELOPEN VTT 22A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er is iets misgelopen ! » (« Il y a quelque chose qui a mal tourné ! »). On y trouve notamment forme verbale « MISgelopen », participe passé provenant de l’infinitif « MISlopen » (verbe dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « LOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.) Quand « MISlopen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « MIS » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « misGElopen ». La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ». Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : - Rajouté le 24/03/2013

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND DOEN GEDAAN VTT 11A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vermomming heeft dienst gedaan ! » (« Le déguisement a donné = rendu service ! »). On y trouve notamment la forme verbale « GEDAAN », participe passé provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Le participe passé « gedaan » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« dienst »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ». Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND AANKOMEN KWAM AAN OVT 22C 21 - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat kwam hard aan ! » (« Cela arriva durement ! = C’était un coup dur ! »). On y trouve notamment la forme verbale « kwam … AAN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « aanKOMEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KOMEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Quand « aanKOMEN » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « AAN » étant affectée par un REJET, derrière le complément (« HARD »), à la fin de la phrase. Il est à noter que l’on a, ici, affaire à une « expression » mais elle est assez facile à comprendre. La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 21 et 22 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ». Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI DOORBREKEN BREKEN DOOR OTT 24D - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij breken door » (« Ils traversent la palissade »). On y trouve la forme verbale « breken … DOOR », O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « DOORbreken » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « BREKEN ». Quand « DOORbreken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « DOOR » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« de omheining »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI AANZETTEN ZET AAN OTT DOORDRINGEN 15A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zelf(s) rillend van angst, zet hij (Tim) zijn vriendje aan verder in het woud door te dringen » (« Même tremblant de peur, il incite son petit ami à pénétrer plus loin dans la forêt »). On y trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « zet … AAN », O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « AANzetten » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « ZETTEN ». Quand « AANzetten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« zijn vriendje »), à la fin de la phrase. N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Zelf rillend van angst »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « ZET ») et passant donc derrière lui. Le verbe « AANzetten », dans la phrase principale, introduit ici une sorte de subordonnée et engendre un « TE » (équivalent du « à » en français) qui précède l’infinitif « DRINGEN », provenant du verbe « doorDRINGEN » dit « à particule séparable », s’intercalant donc après cette particule « DOOR ». La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI DRIJVEN GEDREVEN 10A 4 - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij hebben de kudde toen met fakkels en tamtamgeroffel ver weg gedreven » (« Nous avons alors dirigé = refoulé le troupeau loin avec des torches et des roulements de tambour »). On y trouve notamment la forme verbale « GEDREVEN », participe passé provenant de l’infinitif « DRIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Le participe passé « GEDREVEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de kudde », « toen », « met fakkels en tamtamgeroffel » et « ver weg »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 10 et 4 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI DOEN DEDEN OVT 17D - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat deden jullie in het woud ? » (« Que faisiez-vous dans la forêt ? »). On y trouve la forme verbale « DEDEN » (pluriel de « DEED »), prétérit ou O.V.T. provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI BLIJVEN GEBLEVEN VTT 17E - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waar is de luipaard gebleven ? » (« Où est resté le léopard ? »). On y trouve la forme verbale « GEBLEVEN », participe passé provenant de l’infinitif « BLIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Si ce participe passé « GEBLEVEN » avait été suivi d’un complément comme « WEL », il aurait plus visiblement fait l’objet du REJET, derrière ce complément, à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI AFZONDEREN (ZICH) OTT 24A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Twee dikhuiden (= dikhuidige zoogdieren) zonderen zich af en naderen de omheining » (« Deux pachydermes se séparent et s’approchent de l’enclos »). On y trouve la forme verbale « zonderen (zich) … AF », qui provient d’un infinitif « AFzonderen (zich) », dit « à particule séparable ». (Notons qu’il n’existe aucun verbe « zonderen » mais que, s’il avait (encore ?) existé, il serait construit sur la préposition « ZONDER » dans le sens de « EXCLU ».) Quand « AFzonderen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément éventuel (par exemple « van de kudde »), à la fin de la première des deux phrases. Rappelons qu’un verbe « réfléchi », rendu par deux mots (forme verbale + pronom réfléchi) dans une langue, n’est pas nécessairement rendu par deux mots dans une autre langue. Si « ZICH afzonderen » est rendu par « SE séparer », « S’approcher » (intransitif en français) est rendu par « naderen » (transitif direct en néerlandais et en un 1 seul mot), non accompagné d’un pronom réfléchi. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI VINDEN VONDEN LIG LAG 17F 18A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen we jullie in het woud vonden, lag er wat verder een dode luipaard » (« Quand nous vous trouvâmes dans la forêt, un léopard mort gisait un peu plus loin »). On y trouve, d’une part (dans la phrase subordonnée), la forme verbale « VONDEN », prétérit ou O.V.T. provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». On y trouve, d’autre part (dans la phrase principale), la forme verbale « LAG », prétérit ou O.V.T. provenant de l’infinitif « LIGGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Dans la phrase subordonnée, la forme verbale « VONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in het woud »), à la fin de la phrase. Dans la phrase principale, le sujet « ER » fait l’objet d’une INVERSION derrière la forme verbale « LAG » dans la mesure où on peut considérer que « Toen we jullie in het woud vonden » (phrase subordonnée) joue le rôle d’un complément en début de phrase. Rappelons que, au passé, on a tendance, pour exprimer « QUAND », à utiliser « TOEN » au lieu de « wanneer » ou de « als ». La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 17 et 18 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI OPSTAAN STA OP 16C - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Sta op ! » (« Lève-toi ! »). On y trouve, à l’impératif, la forme verbale « sta … OP ! », qui provient d’un infinitif « OPstaan » (dit « à particule séparable »), construit sur le verbe « staan ». Quand « OPstaan » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément éventuel (par exemple « dadelijk »), à la fin de la phrase. Il est à noter que l’on aurait pu avoir la construction de phrase suivante : « Sta op jouw benen OF op jouw voeten ! », antérieure à la formation du verbe « à particule séparable », quand « OP » était encore une préposition. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI OPDUIKEN DUIKEN OP OTT 11A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Plots duiken ze (Sam en Mgono) op » (« Soudain, ils surgissent »). On y trouve la forme verbale « duiken … OP », O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « OPduiken » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « DUIKEN ». Quand « OPduiken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (par exemple « op de weg van de olifant »), à la fin de la phrase. N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Plots »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ZE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « duiken ») et passant donc derrière lui. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI BANG TE ZIJN 24B PROPOSITION INFINITIVE AUXILIAIRE MODE - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nu moet ik tonen niet bang meer TE zijn » (« Maintenant je dois donner l’impression DE ne plus avoir peur = montrer que je n’ai plus peur »). Rappelons qu’une expression comme « bang ZIJN », avec un verbe dans une langue, ne comporte pas nécessairement le même verbe dans une autre langue : « AVOIR peur ». On y trouve dans l’exemple sélectionné une phrase principale (« Nu moet ik tonen ») suivie d’une sorte de phrase subordonnée « infinitive (« niet bang meer TE zijn »). On aurait en effet pu l’exprimer peut-être plus simplement de la sorte : « « Nu moet ik tonen DAT ik niet meer bang ben ». Dans la tournure de phrase choisie par les auteurs, cela engendre une difficulté supplémentaire pour l’apprenant, en l’occurrence un « TE » devant l’infinitif. N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« NU »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « MOET ») et passant donc derrière lui. N’oublions pas non plus que les verbes comme « MOETEN » que l’on appelle « auxiliaire de MODE » (les 3 autres étant « KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN ») exigent un REJET de l’infinitif, derrière le complément éventuel (par exemple « de anderen »), à la fin de la phrase (la phrase principale prenant fin ici à « TONEN »). La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI AANLEGGEN AANGELEGD VERSTEVIGEN VERSTEVIGD VTT 20B 21A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Met man en macht worden omheiningen van boomstammen rond de voornaamste shamba’s verstevigd en houtvuren aangelegd » (« Avec homme et force = à force de bras, des enclos de troncs d’arbres sont consolidés autour des shamba’s = plantations et des feux de bois sont allumés »). On y trouve la forme verbale « verstevigd », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « verstevigen », verbe régulier. Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. On y trouve aussi la forme verbale « AANgelegd », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « AANleggen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « LEGGEN » , verbe régulier. Quand « AANleggen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGElegd ». N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Met man en macht »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « omheiningen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « worden ») et passant donc derrière lui. Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ». La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 20 et 21 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI ONTSTEKEN ONTSTOKEN VTT 25F - Rajouté le 24/03/2013

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar verderop komen de olifanten (tembo’s) bij het vuur dat hij (Mpingi) heeft ontstoken » (« Mais plus loin les éléphants viennent = arrivent près du feu qu’il a allumé »). On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « ONTstoken », participe passé provenant de l’infinitif « ONTsteken », lui-même construit sur « STEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. Le participe passé « ONTstoken » fait l’objet d’un REJET, derrière un complément éventuel (« alleen »), à la fin de la phrase subordonnée. Notons que le « DAT », qui introduit la phrase subordonnée, est engendré par le déterminant défini « HET » (car le nom » VUUR » est neutre). N’oublions pas que, si une phrase (la phrase principale) commence en néerlandais par un complément (« verderop »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de olifanten ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « komen ») et passant donc derrière lui. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI INBEELDEN INGEBEELD VTT 15B - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar in het woud sluipt een gevaarlijker vijand dan de ingebeelde geesten » (« Mais dans la forêt se faufile un ennemi plus dangereux que les esprits imaginés => imaginaires »). On y trouve, utilisé en tant que adjectif épithète, la forme verbale « ingebeeld », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « INbeelden » (dit « à particule séparable »), construit sur le substantif « BEELD » (= « image »). Ce que l’on s’est imaginé, a été mis « in BEELD » (= « en IMAGE ») dans le cerveau. Quand « INbeelden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEbeeld ». La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI STERVEN GESTORVEN VTT 18B - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar ik wil weten hoe het roofdier is gestorven » (« Mais je veux savoir comment le fauve est mort »). On y trouve notamment la forme verbale « gestorven », participe passé construit sur le verbe « STERVEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI DOORRENNEN RENT DOOR OTT 17A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar hij rent blindelings door » (« Mais il court plus loin à l’aveuglette »). On y trouve la forme verbale « rent … DOOR », qui provient d’un infinitif « DOORrennen » (dit « à particule séparable »), construit sur le verbe « rennen ». Quand « DOORrennen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « DOOR » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément « blindelings », à la fin de la phrase. Notons que « DOORrennen » peut, notamment dans ce contexte, être rendu par « traverser en courant » si l’on imagine par exemple l’adjonction du complément « het woud » : « Maar hij rent het woud blindelings door ». Il est à noter que l’on aurait dès lors pu avoir la construction de phrase suivante : « Maar hij rent blindelings door het woud », antérieure à la formation du verbe « à particule séparable », quand « DOOR » était encore une préposition. Si l’on veut comprendre l’intensité du mouvement engendré par « DOOR », on peut se rappeler la scène d’Astérix et ses compatriotes gaulois, sortant de leur village et passant au travers des rangs de Romains, qu’ils envoient à gauche et à droite. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI AFLIGGEN AFGELEGEN VTT 25C - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar het grootste deel van de kudde baant zich een weg naar de afgelegen shamba’s » (« Mais la plus grande partie du troupeau se fraie un chemin vers les shambas = plantations éloignées »). On y trouve, utilisée comme adjectif épithète, la forme verbale « AFgelegen », participe passé provenant de l’infinitif « AFliggen » (n’existant plus ? …), lui-même construit sur « LIGGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Quand « AFliggen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGElegen ». La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI INKLIMMEN KLIM IN 15C - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Klim die boom in ! » (« Escalade cet arbre = grimpe dans cet arbre ! »). On y trouve, à l’impératif, la forme verbale « klim … IN ! », qui provient d’un infinitif « INklimmen » (dit « à particule séparable »), construit sur le verbe « klimmen ». Quand « INklimmen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément (« die boom »), à la fin de la phrase. Il est à noter que l’on aurait pu avoir la construction de phrase suivante : « Klim in die boom ! », antérieure à la formation du verbe « à particule séparable », où « IN » était une préposition. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI ZIJN GEWEEST VTT 17C - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je bent ongehoorzaam geweest » (« Tu as été désobéissant »). On y trouve la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il est à noter que l’auxiliaire du passé composé est ici « ZIJN » (au lieu de « HEBBEN »). Rappelons qu’en néerlandais, l’adjectif attribut (ici « ongehoorzaam ») est invariable après le verbe « être », tant qu’en genre (passage du masculin au féminin) qu’en nombre (passage du singulier au pluriel). Si, à part l’attribut, ce participe passé « GEWEEST » avait été suivi d’un complément comme « vandaag », il aurait plus visiblement fait l’objet du REJET, derrière ce complément, à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI OPWINDEN OPGEWONDEN VTT 10C - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij springt gillend voor de opgewonden olifant » (« Il bondit en hurlant devant l’éléphant surexcité »). On y trouve notamment la forme verbale (utilisée ici comme adjectif épithète) « OPgewonden », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « opWINDEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « WINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Quand « OPwinden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEwinden ». La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI KLAUTEREN OMHOOG 16A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij klautert langs de stam omhoog ! » (« Il se hisse le long du tronc vers le haut ! »). On y trouve la forme verbale « klautert … OMHOOG », qui aurait pu provenir d’un infinitif « OMHOOGklauteren » (dit « à particule séparable », construit (à l’image de l’infinitif « OMHOOGgaan ») sur le verbe « klauteren ». Quand « OMHOOGgaan » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OMHOOG » de son infinitif proprement dit et son REJET (dans le cas de « OMHOOGklauteren »), derrière le complément (« langs de stam »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI RUIKEN GEROKEN VTT 10B - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft ons geroken » (« Il nous a sentis »). On y trouve notamment la forme verbale « geroken », participe passé construit sur le verbe « RUIKEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Ce participe passé « geroken » est construit sur le pluriel du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.) La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI VERDRIJVEN VERDREVEN VTT 25B - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft de olifanten verdreven » (« Il a expulsé les éléphants »). On y trouve la forme verbale « verDREVEN », participe passé provenant de l’infinitif « verDRIJVEN », lui-même construit sur « DRIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. Le participe passé « verDREVEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de geesten van de angst » et « uit mij »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI GEVEN GAF OVT 18C - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij gaf me een amulet » (« Il me donna une amulette »). On y trouve notamment la forme verbale « GAF », prétérit ou O.V.T. du verbe « GEVEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI AFSCHRIKKEN SCHRIKT AF AFWACHTEN WACHT AF OTT 21B 20C - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het oorverdovende lawaai schrikt de olifanten even af en de kudde wacht opgewonden de nacht af » (« Le bruit assourdissant effraie un peu les éléphants et le troupeau, surexcité, attend la nuit »). On y trouve la forme verbale « schrikt … AF », construite sur le verbe « AFschrikken » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SCHRIKKEN ». Quand « AFschrikken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET (derrière les compléments « de olifanten » et « even ») à la fin de la phrase. On y trouve aussi la forme verbale « wacht … AF », construite sur le verbe « AFwachten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « WACHTEN ». Quand « AFwachten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET (derrière le complément « de nacht ») à la fin de la phrase. On y trouve encore la forme verbale (utilisée ici comme adjectif épithète) « OPgewonden », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « opWINDEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « WINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Quand « OPwinden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEwonden ». La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 20 et 21 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI VERDRIJVEN VERDREVEN VTT 24E 25A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het masker heeft de geesten van de angst uit mij verdreven » (« Le masque a expulsé de moi les esprits de la peur »). On y trouve la forme verbale « verDREVEN », participe passé provenant de l’infinitif « verDRIJVEN », lui-même construit sur « DRIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. Le participe passé « verDREVEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de geesten van de angst » et « uit mij »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 24 et 25 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI KUNNEN KON DOEN DEED OVT 4D - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Eer hij kon vluchten, deed een olifant de hut instorten » (« Avant qu’il pût fuir, un éléphant fit s’écrouler la hutte »). On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « KON », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif (et « AUXILIAIRE de MODE de la capacité) « KUNNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». On y trouve également, dans la phrase principale, la forme verbale « DEED », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Eer hij kon vluchten » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « een olifant ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « deed ») et passant donc derrière lui. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI NEERSTORTEN STORTEN NEER OTT 27A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Drie olifanten storten vlak bij hem dood neer » (« Trois éléphants s’écroulent tout près de lui, morts »). On y trouve la forme verbale « storten … NEER », construite sur le verbe « NEERstorten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « STORTEN ». Quand « NEERstorten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, les compléments (« vlak bij hem » et « dood ») s’intercalant entre eux et la particule « NEER » faisant donc l’objet d’un REJET à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI INRENNEN RENNEN IN OTT 16D - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dol van angst, rennen de jongens het woud in » (« Fous d’angoisse, les garçons pénètrent en courant dans la forêt »). On y trouve la forme verbale « rennen … IN », qui aurait pu provenir d’un infinitif « INrennen » (dit « à particule séparable »), construit (à l’image de l’infinitif « INlopen ») sur le verbe « rennen ». Quand « INlopen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit et son REJET (dans le cas de « INrennen »), derrière le complément (« het woud »), à la fin de la phrase. Il est à noter que l’on aurait pu avoir la construction de phrase suivante : « De jongens rennen IN het woud », antérieure à la formation du verbe « à particule séparable », quand « IN » était encore une préposition. N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Dol van angst »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de jongens ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « rennen ») et passant donc derrière lui. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI AANVALLEN VALLEN AAN OTT 24C - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De twee olifanten vallen de omheining aan » (« Les deux éléphants attaquent l’enclos »). On y trouve la forme verbale « vallen … AAN », O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « AANvallen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « VALLEN ». Quand « AANvallen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, notamment derrière le complément (« de omheining »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI ZIEN VERLATEN 20 DOUBLE INFINITIF - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De oude olifant heeft de mannen het dorp zien verlaten » (« Le vieil éléphant a vu les hommes quitter le village »). On y trouve la forme verbale « verLATEN », participe passé provenant de l’infinitif « verLATEN », lui-même construit sur « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». La phrase est, en fait, au passé composé et la forme verbale de « ZIEN » aurait dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI WORDEN GEWORDEN VTT 26A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De olifanten zijn dol geworden » (« les éléphants sont devenus fous »). On y trouve notamment la forme verbale « GEWORDEN », participe passé provenant de l’infinitif « WORDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Cette forme verbale est, comme on le voit, construite sur l’INFINIF. (Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.) Le participe passé « GEWORDEN » est affecté d’un REJET, derrière l’attribut (« DOL »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI WEGDRIJVEN DRIJVEN WEG OTT 25D - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zwaaiend met brandende fakkels, gillend en schreeuwend, drijven de mensen (Kawamba’s) de kudde verder van de shamba’s weg » (« Agitant des torches brûlantes = allumées, hurlant et criant, les Kawamba’s refoulent le troupeau loin des shambas = plantations »). On y trouve la forme verbale « drijven … WEG », O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « WEGdrijven » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « DRIJVEN ». Quand « WEGdrijven » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de kudde » et « van de shamba’s »), à la fin de la phrase. N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Zwaaiend met brandende fakkels, gillend en schreeuwend »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de mensen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « drijven ») et passant donc derrière lui. N’oublions pas non plus que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « ZWAAIEN » => « zwaaienD » ; « GILLEN » => « gillenD » ; « SCHREEUWEN » => « schreeuwenD » ; « BRANDEN » => « brandenD » ; ici, ce participe présent est utilisé comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder, prend la terminaison majoritaire « E » => « brandendE fakkels ». La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI SLAPEN SLIEP OVT 4C - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De kleine jongen (Mpingi) sliep in een hut » (« Le petit garçon dormait dans une hutte »). On y trouve notamment la forme verbale « SLIEP », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « SLAPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

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