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Nom : VENIR KOMEN COME OTT OVT VTT - Rajouté le 01/06/2012

Description : Nous proposons ici en langue néerlandaise le verbe « VENIR – KOMEN – COME – VENIR » à trois temps de l’indicatif : le présent (ou O.T.T.), le prétérit (ou O.V.T.) et la forme du participe passé (au passé composé ou V.T.T.). Les verbes, construits à partir du verbe de base, se conjuguent généralement comme lui. Il est prononcé par beaucoup de personnes différentes.
Ce verbe est extrait de l’outil pédagogique que nous avons conçu (cédérom de quelque 8.000 fichiers en juin 2005, couronné d’un Prix « e-Learning / e-Twinning »; clé USB de 4 GB en février 2008, couronnée d’un « Trophée des Innovations en Education » et contenant à ce jour quelque 35.000 fichiers), où se trouvait notamment une structure en arborescence concernant les verbes.
Nous y avons adapté en format MP3, pour aider les élèves « primo-arrivants » à s’intégrer linguistiquement dans leur pays d’accueil, des phrases provenant de diverses méthodes et s’appuyant parfois sur de l’iconographie.
Le but de notre initiative est de mettre gratuitement à leur disposition de courtes phrases dans le contexte desquelles les formes verbales sont conjuguées et que les apprenants peuvent transférer sur un lecteur MP3 et, le cas échéant, écouter lors d’un trajet entre leur domicile et leur lieu de travail (ou école).
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné. Nous espérons toutefois qu’ils considéreront notre adaptation comme un hommage à leur propre travail.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 5A - Rajouté le 01/06/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De oude vrouw wordt dadelijk naar bed gebracht. » (« La vieille femme est aussitôt amenée au lit »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le singulier du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEBRACHT » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« dadelijk » et « naar bed »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : REGARDER KIJKEN LOOK MIRAR OTT OVT VTT - Rajouté le 31/05/2012

Description : Nous proposons ici en langue néerlandaise le verbe « REGARDER – KIJKEN – LOOK – MIRAR » à trois temps de l’indicatif : le présent (ou O.T.T.), le prétérit (ou O.V.T.) et la forme du participe passé (au passé composé ou V.T.T.). Les verbes, construits à partir du verbe de base, se conjuguent généralement comme lui. Il est prononcé par beaucoup de personnes différentes.
Ce verbe est extrait de l’outil pédagogique que nous avons conçu (cédérom de quelque 8.000 fichiers en juin 2005, couronné d’un Prix « e-Learning / e-Twinning »; clé USB de 4 GB en février 2008, couronnée d’un « Trophée des Innovations en Education » et contenant à ce jour quelque 35.000 fichiers), où se trouvait notamment une structure en arborescence concernant les verbes.
Nous y avons adapté en format MP3, pour aider les élèves « primo-arrivants » à s’intégrer linguistiquement dans leur pays d’accueil, des phrases provenant de diverses méthodes et s’appuyant parfois sur de l’iconographie.
Le but de notre initiative est de mettre gratuitement à leur disposition de courtes phrases dans le contexte desquelles les formes verbales sont conjuguées et que les apprenants peuvent transférer sur un lecteur MP3 et, le cas échéant, écouter lors d’un trajet entre leur domicile et leur lieu de travail (ou école).
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné. Nous espérons toutefois qu’ils considéreront notre adaptation comme un hommage à leur propre travail.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 4A - Rajouté le 31/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij houdt de ridder in een ijzeren greep gevangen. » (« Il tient le chevalier pris = prisonnier dans une étreinte de fer »).
On y trouve notamment la forme verbale « gevangen », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « VANGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « gevangen » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de ridder » et « in een ijzeren greep »), à la fin de la phrase.
Quand on fait, en néerlandais, jouer à une matière (bois, laine, etc.) le rôle d’un adjectif épithète (EN bois, EN laine, etc.), on trouve une terminaison exceptionnelle : « -EN ». C’est le cas de « ijzerEN ». Un moyen mnémotechnique pour retenir cette anomalie : le francophone peut se dire que le « EN », qui précède le nom commun français, se colle à la FIN du nom commun néerlandais.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : SAUTER SPRINGEN SPRING SALTAR OTT OVT VTT - Rajouté le 30/05/2012

Description : Nous proposons ici en langue néerlandaise le verbe « SAUTER – SPRINGEN – SPRING – SALTAR » à trois temps de l’indicatif : le présent (ou O.T.T.), le prétérit (ou O.V.T.) et la forme du participe passé (au passé composé ou V.T.T.). Les verbes, construits à partir du verbe de base, se conjuguent généralement comme lui. Il est prononcé par beaucoup de personnes différentes.
Ce verbe est extrait de l’outil pédagogique que nous avons conçu (cédérom de quelque 8.000 fichiers en juin 2005, couronné d’un Prix « e-Learning / e-Twinning »; clé USB de 4 GB en février 2008, couronnée d’un « Trophée des Innovations en Education » et contenant à ce jour quelque 35.000 fichiers), où se trouvait notamment une structure en arborescence concernant les verbes.
Nous y avons adapté en format MP3, pour aider les élèves « primo-arrivants » à s’intégrer linguistiquement dans leur pays d’accueil, des phrases provenant de diverses méthodes et s’appuyant parfois sur de l’iconographie.
Le but de notre initiative est de mettre gratuitement à leur disposition de courtes phrases dans le contexte desquelles les formes verbales sont conjuguées et que les apprenants peuvent transférer sur un lecteur MP3 et, le cas échéant, écouter lors d’un trajet entre leur domicile et leur lieu de travail (ou école).
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné. Nous espérons toutefois qu’ils considéreront notre adaptation comme un hommage à leur propre travail.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 3A - Rajouté le 30/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is je niet geraden. » (« Cela ne t’est pas conseillé = à toi »).
On y trouve notamment la forme verbale « geraden », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « RADEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « geraden » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« JE » = « aan jou »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : GAGNER WINNEN WIN GANAR OTT OVT VTT - Rajouté le 29/05/2012

Description : Nous proposons ici en langue néerlandaise le verbe « GAGNER – WINNEN – WIN – GANAR » à trois temps de l’indicatif : le présent (ou O.T.T.), le prétérit (ou O.V.T.) et la forme du participe passé (au passé composé ou V.T.T.). Les verbes, construits à partir du verbe de base, se conjuguent généralement comme lui. Il est prononcé par beaucoup de personnes différentes.
Ce verbe est extrait de l’outil pédagogique que nous avons conçu (cédérom de quelque 8.000 fichiers en juin 2005, couronné d’un Prix « e-Learning / e-Twinning »; clé USB de 4 GB en février 2008, couronnée d’un « Trophée des Innovations en Education » et contenant à ce jour quelque 35.000 fichiers), où se trouvait notamment une structure en arborescence concernant les verbes.
Nous y avons adapté en format MP3, pour aider les élèves « primo-arrivants » à s’intégrer linguistiquement dans leur pays d’accueil, des phrases provenant de diverses méthodes et s’appuyant parfois sur de l’iconographie.
Le but de notre initiative est de mettre gratuitement à leur disposition de courtes phrases dans le contexte desquelles les formes verbales sont conjuguées et que les apprenants peuvent transférer sur un lecteur MP3 et, le cas échéant, écouter lors d’un trajet entre leur domicile et leur lieu de travail (ou école).
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné. Nous espérons toutefois qu’ils considéreront notre adaptation comme un hommage à leur propre travail.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 2A - Rajouté le 29/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De jonge slotheer = leenheer (Cunard) stierf vanmorgen = ‘s morgens = in de morgen = deze morgen. » (« Le jeune seigneur mourut ce matin »).
On y trouve notamment la forme verbale « STIERF » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « STERVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 1C - Rajouté le 28/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat heb ik nog nooit meegemaakt. » (« Je n’ai encore jamais assisté à cela »).
On y trouve notamment la forme verbale « MEEgemaakt », participe passé construit sur l’infinitif « MEEmaken », lui-même construit sur le verbe « MAKEN » (ayant une signification différente).
Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Ce verbe « MEEmaken » est aussi dit « à particule séparable », la particule « MEE » provenant de la préposition « MET ». Quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « MEE » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « meeGEmaakt ».
N’oublions donc pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « DAT »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « HEB ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : TROUVER VINDEN FIND ENCONTRAR OTT OVT VTT - Rajouté le 28/05/2012

Description : Nous proposons ici en langue néerlandaise le verbe « TROUVER – VINDEN – FIND – ENCONTRAR » à trois temps de l’indicatif : le présent (ou O.T.T.), le prétérit (ou O.V.T.) et la forme du participe passé (au passé composé ou V.T.T.). Les verbes, construits à partir du verbe de base, se conjuguent généralement comme lui. Il est prononcé par beaucoup de personnes différentes.
Ce verbe est extrait de l’outil pédagogique que nous avons conçu (cédérom de quelque 8.000 fichiers en juin 2005, couronné d’un Prix « e-Learning / e-Twinning »; clé USB de 4 GB en février 2008, couronnée d’un « Trophée des Innovations en Education » et contenant à ce jour quelque 35.000 fichiers), où se trouvait notamment une structure en arborescence concernant les verbes.
Nous y avons adapté en format MP3, pour aider les élèves « primo-arrivants » à s’intégrer linguistiquement dans leur pays d’accueil, des phrases provenant de diverses méthodes et s’appuyant parfois sur de l’iconographie.
Le but de notre initiative est de mettre gratuitement à leur disposition de courtes phrases dans le contexte desquelles les formes verbales sont conjuguées et que les apprenants peuvent transférer sur un lecteur MP3 et, le cas échéant, écouter lors d’un trajet entre leur domicile et leur lieu de travail (ou école).
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné. Nous espérons toutefois qu’ils considéreront notre adaptation comme un hommage à leur propre travail.

Nom : VOIR ZIEN SEE VER OTT OVT VTT - Rajouté le 27/05/2012

Description : Nous proposons ici en langue néerlandaise le verbe « VOIR – ZIEN – SEE – VER » à trois temps de l’indicatif : le présent (ou O.T.T.), le prétérit (ou O.V.T.) et la forme du participe passé (au passé composé ou V.T.T.). Les verbes, construits à partir du verbe de base, se conjuguent généralement comme lui. Il est prononcé par beaucoup de personnes différentes.
Ce verbe est extrait de l’outil pédagogique que nous avons conçu (cédérom de quelque 8.000 fichiers en juin 2005, couronné d’un Prix « e-Learning / e-Twinning »; clé USB de 4 GB en février 2008, couronnée d’un « Trophée des Innovations en Education » et contenant à ce jour quelque 35.000 fichiers), où se trouvait notamment une structure en arborescence concernant les verbes.
Nous y avons adapté en format MP3, pour aider les élèves « primo-arrivants » à s’intégrer linguistiquement dans leur pays d’accueil, des phrases provenant de diverses méthodes et s’appuyant parfois sur de l’iconographie.
Le but de notre initiative est de mettre gratuitement à leur disposition de courtes phrases dans le contexte desquelles les formes verbales sont conjuguées et que les apprenants peuvent transférer sur un lecteur MP3 et, le cas échéant, écouter lors d’un trajet entre leur domicile et leur lieu de travail (ou école).
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné. Nous espérons toutefois qu’ils considéreront notre adaptation comme un hommage à leur propre travail.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 1B - Rajouté le 27/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (de hinde) wordt als door een onzichtbare hand onder water getrokken. » (« Elle (la biche) est tirée sous l’eau comme par une main invisible »).
On y trouve notamment la forme verbale « getrokken », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « getrokken » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« door een onzichtbare hand » et « onder water »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : ROULER RIJDEN RIDE RODAR OTT OVT VTT - Rajouté le 26/05/2012

Description : Nous proposons ici en langue néerlandaise le verbe « ROULER – RIJDEN – RIDE – RODAR » à trois temps de l’indicatif : le présent (ou O.T.T.), le prétérit (ou O.V.T.) et la forme du participe passé (au passé composé ou V.T.T.). Les verbes, construits à partir du verbe de base, se conjuguent généralement comme lui. Il est prononcé par beaucoup de personnes différentes.
Ce verbe est extrait de l’outil pédagogique que nous avons conçu (cédérom de quelque 8.000 fichiers en juin 2005, couronné d’un Prix « e-Learning / e-Twinning »; clé USB de 4 GB en février 2008, couronnée d’un « Trophée des Innovations en Education » et contenant à ce jour quelque 35.000 fichiers), où se trouvait notamment une structure en arborescence concernant les verbes.
Nous y avons adapté en format MP3, pour aider les élèves « primo-arrivants » à s’intégrer linguistiquement dans leur pays d’accueil, des phrases provenant de diverses méthodes et s’appuyant parfois sur de l’iconographie.
Le but de notre initiative est de mettre gratuitement à leur disposition de courtes phrases dans le contexte desquelles les formes verbales sont conjuguées et que les apprenants peuvent transférer sur un lecteur MP3 et, le cas échéant, écouter lors d’un trajet entre leur domicile et leur lieu de travail (ou école).
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné. Nous espérons toutefois qu’ils considéreront notre adaptation comme un hommage à leur propre travail.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 1A - Rajouté le 26/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Tijdens een vermoeiende tocht stapt de Rode Ridder (van zijn paard) af. » (« Le Rode Ridder descend (de cheval) pendant une fatigante randonnée »).
On y trouve la forme verbale « stapt … AF », provenant de l’infinitif « AFstappen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « STAPPEN ».
La « particule séparable » « AF » fait l’objet d’un REJET, (et aurait fait l’objet d’un REJET derrière le complément « tijdens een vermoeiende tocht » si l’on n’avait pas eu affaire à une INVERSION »), à la fin de la phrase. Si on avait eu l’ordre traditionnel des mots dans la phrase, on aurait en effet eu : « De Rode Ridder stapt tijdens een vermoeiende tocht af. »
N’oublions donc pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« tijdens een vermoeiende tocht »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de Rode Ridder ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « stapt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : RESTER BLIJVEN STAY QUEDAR OTT OVT VTT - Rajouté le 25/05/2012

Description : Nous proposons ici en langue néerlandaise le verbe « RESTER – BLIJVEN – STAY – QUEDAR » à trois temps de l’indicatif : le présent (ou O.T.T.), le prétérit (ou O.V.T.) et la forme du participe passé (au passé composé ou V.T.T.). Les verbes, construits à partir du verbe de base, se conjuguent généralement comme lui. Il est prononcé par beaucoup de personnes différentes.
Ce verbe est extrait de l’outil pédagogique que nous avons conçu (cédérom de quelque 8.000 fichiers en juin 2005, couronné d’un Prix « e-Learning / e-Twinning »; clé USB de 4 GB en février 2008, couronnée d’un « Trophée des Innovations en Education » et contenant à ce jour quelque 35.000 fichiers), où se trouvait notamment une structure en arborescence concernant les verbes.
Nous y avons adapté en format MP3, pour aider les élèves « primo-arrivants » à s’intégrer linguistiquement dans leur pays d’accueil, des phrases provenant de diverses méthodes et s’appuyant parfois sur de l’iconographie.
Le but de notre initiative est de mettre gratuitement à leur disposition de courtes phrases dans le contexte desquelles les formes verbales sont conjuguées et que les apprenants peuvent transférer sur un lecteur MP3 et, le cas échéant, écouter lors d’un trajet entre leur domicile et leur lieu de travail (ou école).
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné. Nous espérons toutefois qu’ils considéreront notre adaptation comme un hommage à leur propre travail.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 27B - Rajouté le 25/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het koper kwam zeker van een plaats niet ver vanwaar ik hem begroef » (« Le cuivre venait certainement d’une place pas loin de celle où je l’enterrai »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « KWAM », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « BEGROEF », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « BEGRAVEN », lui-même construit sur le verbe « GRAVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 15C - Rajouté le 24/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar waarom houdt men hem verborgen ? » (« Mais pourquoi le tient-on caché ? »).
On y trouve la forme verbale « verborgen », participe passé provenant d’un infinitif « verbergen », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Ce participe passé « verborgen » se construit sur le pluriel du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « verborgen » est affecté d’un REJET, derrière le complément (« HEM »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 7E - Rajouté le 23/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Welk lot is mij hier beschoren ? » (« Quel sort m’est destiné = réservé ici ? »).
On y trouve la forme verbale « beschoren », participe passé provenant d’un infinitif « bescheren » ayant disparu, lui-même construit sur l’infinitif « SCHEREN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Ce participe passé « beschoren » (« GEschoren » donc dans le cas de « SCHEREN ») se construit sur le pluriel du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « beschoren » est affecté d’un REJET, derrière les compléments (« MIJ » et « HIER »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 5A - Rajouté le 22/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij vonden twee paarden » (« Nous trouvâmes deux chevaux »).
On y trouve la forme verbale « VONDEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 4B - Rajouté le 21/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zijn ontmoeting met de beer is hem noodlottig geworden » (« Sa rencontre avec l’ours lui est devenue fatale »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEWORDEN », participe passé provenant de l’infinitif « WORDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Cette forme verbale est, comme on le voit, construite sur L’INFINIF. (Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
Le participe passé « GEWORDEN » est affecté d’un REJET, derrière les compléments (« HEM » et « noodlottig »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 3 et 4 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 31D - Rajouté le 20/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vlam (…) deed het uitzetten tot de trekker (werd) overgehaald werd ! » (« La flamme fit = provoqua la dilatation jusqu’à ce que la gâchette fût pressée »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « DEED », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi dans la phrase subordonnée (introduite par « TOT » pour « TOTDAT »), le REJET de la forme verbale « werd overgehaald », derrière le complément (sous-entendu « genoeg »), à la fin de la phrase.
On y trouve encore, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « WERD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « WORDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
On y trouve enfin, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « overGEhaald » (participe passé provenant de l’infinitif « OVERhalen », lui-même construit sur le verbe « HALEN », PAS affecté par les « temps primitifs »).
Ce verbe « OVERhalen » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire. Ce verbe «OVERhalen » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OVER » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « overGEhaald ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 31C - Rajouté le 19/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nu moet je me toch eens verklaren hoe je dat voor elkaar kreeg ! » (« Maintenant tu dois tout de même m’expliquer (une fois) comment tu reçus cela l’un dans l’autre = tu t’y es pris pour y arriver »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « KREEG », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « KRIJGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve dans la phrase subordonnée (introduite par « HOE »), le REJET de la forme verbale « KREEG », derrière les compléments (« DAT » et « voor elkaar »), à la fin de la phrase.
Notez l’utilisation de l’expression « voor elkaar krijgen ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 31B - Rajouté le 18/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De zilverbuks heeft gesproken » (« La carabine en argent a parlé »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESPROKEN », participe passé provenant de l’infinitif « SPREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 31A - Rajouté le 17/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dodelijk getroffen, stort de wrede tovenaar neer » (« Mortellement touché, le cruel sorcier s’écroule »).
On y trouve notamment, dans le complément (qui est une sorte de phrase subordonnée) la forme verbale « GETROFFEN », participe passé provenant de l’infinitif « TREFFEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GETROFFEN », utilisé comme adjectif, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« dodelijk»), à la fin de la phrase subordonné.
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Dodelijk getroffen »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de wrede tovenaar ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « stort ») et passant donc derrière lui.
On y trouve aussi, dans la phrase principale, la forme verbale « stort … NEER », construite sur le verbe « NEERstorten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « STORTEN ».
Quand « NEERstorten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, la particule « NEER » étant affectée par un REJET, derrière le complément (ici, sous-entendu : « op de grond »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 30C - Rajouté le 16/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De toverbuks werd mij door de geesten teruggeschonken (…) ! » (« La carabine magique me fut offerte en retour par les esprits ! »).
On y trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « TERUGgeschonken », participe passé construit sur le verbe « TERUGschenken » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SCHENKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « TERUGschenken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « terugGEschonken ».
Cette particule « TERUG » est très fréquente en néerlandais puisqu’elle correspond au préfixe « RE- » (exemple : Revenir), rendant la notion de RETOUR (ici au propriétaire).
On y trouve aussi la forme verbale « WERD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « WORDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 30B - Rajouté le 15/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De geesten hebben ze hem teruggegeven ! » (« Les esprits la lui ont rendue ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « TERUGgegeven », participe passé construit sur le verbe « TERUGgeven » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « GEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « TERUGgeven » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « terugGEgeven ».
Cette particule « TERUG » est très fréquente en néerlandais puisqu’elle correspond au préfixe « RE- » (exemple : Revenir), rendant la notion de RETOUR (ici au propriétaire).
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 30A - Rajouté le 14/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij wierp de buks in zee ! » (« Il jeta la carabine dans la mer ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « WIERP » (O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « WERPEN »), qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 29B - Rajouté le 13/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik wierp slechts een imitatie van mijn buks in zee » (« Je ne jetai qu’une imitation de ma carabine dans la mer »).
On y trouve notamment la forme verbale « WIERP » (O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « WERPEN »), qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Notons l’utilisation de « SLECHTS » correspondant aux mots français « NE … QUE ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 29A - Rajouté le 12/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat was te verwachten ! » (« C’était à attendre = Il fallait s’y attendre ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 28C - Rajouté le 11/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Taho) spreekt met gespleten tong » (« Il parle avec une langue fourchue »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESPLETEN » utilisée comme adjectif épithète, participe passé (utilisé e. a. au passé composé ou V.T.T.) provenant de l’infinitif « SPLIJTEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 28B - Rajouté le 10/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (…) hij dacht dat ik wist waar het koper vandaan kwam dat Novok bij zich had ! » (« Il pensait que je savais d’où venait le cuivre que Novok avait sur lui ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « DACHT » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « DENKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi la forme verbale « WIST » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « WETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve encore la forme verbale « KWAM » (O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « KOMEN »), qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que le mot « vandaan » indique la provenance. L’expression la plus connue est « Waar kom je vandaan ? » = « D’où viens-tu ? »
On y trouve enfin la forme verbale « HAD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 28A - Rajouté le 09/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Winnetou) hield hem (Shatterhand) hier verborgen ! » (« Il le tenait ici caché ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « HIELD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HOUDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi la forme verbale « VERBORGEN », participe passé construit sur le verbe « VERBERGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « HEM » et « HIER »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 27A - Rajouté le 08/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Taho) vond ruw koper in mijn tas » (« Il trouva du cuivre brut dans mon sac »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale et dans phrase subordonnée relative, une double forme verbale « VOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 26C - Rajouté le 07/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Winnetou) wordt naast hem (Old Shatterhand) gebonden » (« Il est attaché = on l’attache à côté de lui »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « BINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEBONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« naast hem »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 26B - Rajouté le 06/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je vergat mijn getrouwen » (« Tu oubliais mes fidèles »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERGAT », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VERGETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 26A 18 - Rajouté le 05/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je hebt de zilverbuks weggeworpen » (« Tu as jeté (au loin) la carabine en argent »).
On y trouve notamment la forme verbale « WEGgeworpen », participe passé provenant de l’infinitif « WEGwerpen », lui-même construit sur le verbe « WERPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « WEGgeworpen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de zilverbuks »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 18 et 26 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 25C - Rajouté le 04/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waar vond JE het koper dat IK in je (jouw) tas vond ? » (« Où trouvas-tu le cuivre que je trouvai dans ton sac ? »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale et dans phrase subordonnée relative, une double forme verbale « VOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il faut rappeler que si, lors du passage de la 1ère personne (« IK ») à la 2ème personne (« JE ») du singulier de l’indicatif présent (O.T.T.) on ajoute normalement la terminaison « T » après le « JE » (sauf à la forme interrogative), ce N’est PAS le cas à l’O.V.T. (ou prétérit) !
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 25B - Rajouté le 03/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Honger en mishandeling hebben je niet aan het praten gebracht » (« La faim et les mauvais traitements ne t’ont pas amené à parler »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le SINGULIER du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEBRACHT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« aan het praten »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 25A - Rajouté le 02/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In het gewelf bevindt zich hij (Old Shatterhand) stevig aan handen en voeten gebonden » (« Sous la voûte se trouve Old Shatterhand, solidement attaché aux mains et aux pieds »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « BINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEBONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« aan handen en voeten »), à la fin de la phrase.
Si l’on n’avait pas utilisé « zich BEVINDEN », cette phrase aurait été à la voix passive et on aurait utilisé l’auxiliaire « WORDEN » (au lieu de l’auxiliaire « ZIJN » aux temps composés).
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « In het gewelf »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « bevindt zich ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 24A - Rajouté le 01/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Alle beschikbare kano’s slepen de gedode walvis naar de wal » (« Tous les canots disponibles traînèrent la baleine tuée vers la rive »).
On y trouve notamment la forme verbale « SLEPEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « SLIJPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi, utilisée comme adjectif épithète, la forme verbale « GEDODE », provenant de l’infinitif « DODEN ».
Ce verbe « DODEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est PAS affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical « DOOD » (première personne du présent) se terminant par la consonne « D », on trouvera le « D » majoritaire au participe passé (mais sans le « doubler ») : « GEDOOD ».
Dans le complément « de gedode walvis », le participe passé « GEDOOD », utilisé donc comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder, prend la terminaison majoritaire « E » (devant noms masculin, féminin et neutre au singulier ainsi que masculin, féminin ou neutre au pluriel, précédés d’un déterminant défini). Attention à la modification orthographique : dans la mesure où on rajoute un « E » derrière une consonne finale unique (ici « D »), cela entraîne la disparition d’une des deux voyelles identiques (ici « O ») devant cette même consonne si l’on a affaire à une double voyelle. « GEDOOD » + « E » - « O » = « gedOdE ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 22A - Rajouté le 30/04/2012

Description : La double phrase suivante (d’un dialogue) est grammaticalement intéressante : « (Taho) Dit is een uitdaging ! – Aangenomen (Winnetou) ! » (« C’est un défi ! – Accepté ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « « AANgenomen », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « aanNEMEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANnemen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEnomen ».
Notez que, si Taho avait formulé une phrase complète, cette phrase aurait été à la voix passive (avec utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ») : « Jouw uitdaging wordt aangenomen, Winnetou) ! ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 21B - Rajouté le 29/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nu zijn ze reddeloos verloren ! » (« Maintenant ils sont irrémédiablement perdus ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERLOREN », participe passé construit sur le verbe « VERLIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « reddeloos »), à la fin de la phrase.
Notez que le suffixe « -LOOS » dans « reddeloos » (construit sur « REDDEN ») équivaut à la préposition « ZONDER » (= SANS) => « reddeloos » = « sans espoir d’être sauvés ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « NU »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ZE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « ZIJN ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 21A - Rajouté le 28/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat heb je gedaan ? » (« Qu’as-tu fait ? »).
On y trouve la forme verbale « GEDAAN », participe passé provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 20B - Rajouté le 27/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Plotseling wordt hij (Whonak) door het (…) gespannen touw over boord getrokken » (« Subitement, il est tiré par-dessus bord par la corde tendue »).
On y trouve notamment la forme verbale « GETROKKEN », participe passé provenant de l’infinitif « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GETROKKEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« door het gespannen touw » et « over boord »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Plotseling »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « WORDT ») et passant donc derrière lui.
On y trouve aussi, utilisé comme adjectif épithète, la forme verbale « gespannen », participe passé provenant de l’infinitif « SPANNEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 20A - Rajouté le 26/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nauwelijks heeft de harpoen hem getroffen of de walvis stuift in de (…) golven weg » (« A peine le harpon l’a-t-il touchée que la baleine part en trombe dans les flots »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « GETROFFEN », participe passé provenant de l’infinitif « TREFFEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GETROFFEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HEM »), à la fin de la phrase principale.
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Nauwelijks »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de harpoen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « heeft ») et passant donc derrière lui.
On y trouve aussi, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « stuift … WEG », provenant de l’infinitif « WEGstuiven » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « STUIVEN ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in de golven »), à la fin de la phrase subordonnée.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 19B - Rajouté le 25/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb nooit op de zwarte vis gejaagd » (« Je n’ai jamais chassé le poisson noir »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEJAAGD », participe passé provenant de l’infinitif « JAGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » (pour son prétérit) mais qui évolue vers un verbe régulier.
Rappelons que si nous savons bien qu’une baleine est un mammifère, le nom commun « walVIS » en néerlandais contient « VIS », d’où le « zwarte VIS » de Winnetou.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 19A - Rajouté le 24/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (ceder)bomen worden (…) van hun schors ontdaan » (« Les arbres sont défaits = dépouillés de leur écorce »).
On y trouve notamment la forme verbale « ONTdaan », participe passé provenant du verbe « ontDOEN », lui-même construit sur l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » (et dont le participe passé est « GEDAAN »).
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « ONT- » (qui n’est PAS une « particule séparable »), son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 17C - Rajouté le 23/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De zilverbuks heeft gesproken » (« La carabine en argent a parlé »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESPROKEN », participe passé provenant de l’infinitif « SPREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 17B - Rajouté le 22/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het ogenblik was zeker niet gunstig ! » (« Le moment n’était certainement pas favorable ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 17A - Rajouté le 21/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De toverbuks heeft op mij geschoten ! » (« La carabine magique a tiré sur moi ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESCHOTEN », participe passé provenant de l’infinitif « SCHIETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GESCHOTEN » fait l’objet en néerlandais d’un REJET, derrière le complément (« op mij »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le préfixe « TOVER- » est l’équivalent de l’adjectif « magisch ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 16B - Rajouté le 20/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Winnetou) kreeg van de geesten zijn zilveren toverbuks » (« Il reçut des esprits sa carabine magique EN argent »).
On y trouve notamment la forme verbale « KREEG », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « KRIJGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le préfixe « tover- » joue devant un nom commun le rôle d’un adjectif : « magisch ».
Quand on fait, en néerlandais, jouer à une matière (bois, laine, etc.) le rôle d’un adjectif épithète (EN bois, EN laine, etc.), on trouve une terminaison exceptionnelle : « -EN ». C’est le cas de « zilverEN » mais on a trouvé, par ailleurs, « zilverbuks ». Un moyen mnémotechnique pour retenir cette anomalie : le francophone peut être de se dire que le « EN », qui précède le nom commun français, se colle à la FIN du nom commun néerlandais.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 16A - Rajouté le 19/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vannacht kwam een onzer = van onze vissers in zee om » (« Cette nuit, un de nos pêcheurs périt en mer »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAM … OM », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « OMkomen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KOMEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OMkomen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OM » de son infinitif proprement dit, la particule « OM » étant affectée par un REJET, derrière le complément (« in zee »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« vannacht »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « een onzer = van onze vissers ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « KWAM ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 15B - Rajouté le 18/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een stem, die uit de totem scheen te komen, beval mij te liegen » (« Une voix, qui semblait venir du totem, m’ordonna de mentir »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « SCHEEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « SCHIJNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Dans la phrase subordonnée (introduite par « DIE »), il y a REJET de la forme verbale « SCHEEN », derrière le complément (« uit de totem »), à la fin de cette phrase subordonnée.
Rappelons que « SCHIJNEN » est un de ces verbes qui exigent un « TE » avant l’infinitif qui les suit.
On trouve également, dans la phrase principale, la forme verbale « BEVAL », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « BEVELEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 15A 13 - Rajouté le 17/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het (kledingstuk) lag voor mijn totempaal » (« La pièce de vêtement était couchée = se trouvait = gisait devant mon totem »).
On y trouve notamment la forme verbale « LAG », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « LIGGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que si le déterminant défini d’un nom commun NEUTRE singulier est « HET », le pronom personnel sujet qui remplacera devant une forme verbale (de la 3ème personne du singulier) le même nom commun, sera également « HET ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 13 et 15 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 14B - Rajouté le 16/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik moet weten wie die moordenaar opdracht gaf » (« Je dois savoir qui donna l’ordre à ce meurtrier »).
On y trouve notamment la forme verbale « GAF », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « GEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée (introduite par « WIE »), le REJET de la forme verbale « GAF », derrière les compléments (« die moordenaar » et « opdracht »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 14A - Rajouté le 15/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ben de zus van degene die => wie het kledingstuk (…) vond » (« Je suis la sœur de celui qui trouva le morceau de vêtement »).
On y trouve notamment la forme verbale « VOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée (introduite par « DIE »), le REJET de la forme verbale « VOND », derrière le complément (« het kledingstuk »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 13C - Rajouté le 14/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De zee heeft jouw (je) vriend tot zich genomen » (« La mer a pris à elle = s’est emparée de ton ami »).
On y trouve notamment la forme verbale « GENOMEN », participe passé provenant de l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GENOMEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« jouw vriend » et « tot zich »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 13B - Rajouté le 13/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dit heb ik op het strand gevonden » (« J’ai trouvé ceci sur la plage »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEVONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEVONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« op het strand »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
N’oublions pas non plus que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« DIT »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « HEB ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 13A - Rajouté le 12/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De geesten hebben te kennen gegeven dat U (Winnetou) het dorp (…) moet verlaten » (« Les esprits ont donné à connaître = ont fait savoir que vous devez quitter le village »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEGEVEN », participe passé provenant de l’infinitif « GEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé (ici « GEGEVEN ») fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « te kennen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 12A - Rajouté le 11/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Winnetou) kreeg zijn tovermacht van boze geesten » (« Il reçut sa puissance magique d’esprits malveillants »).
On y trouve notamment la forme verbale « KREEG », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « KRIJGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le préfixe « tover- » joue devant un nom commun le rôle de l’adjectif « magisch ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 11C - Rajouté le 10/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij zal in het dorp blijven tot hij zijn vriend (Old Shatterhand) (heeft) gevonden heeft » (« Il va rester = restera dans le village jusqu’à ce qu’il ait trouvé son ami »).
Dans la première phrase, on a la forme verbale « ZAL », provenant de l’infinitif « ZULLEN », auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au futur simple.
N’oublions pas que « ZULLEN », auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au futur simple, exige le REJET de l’autre verbe (« blijven »), à l’infinitif, derrière le complément (ici « in het dorp »), à la fin de la phrase.
Nous avons rendu en français cet auxiliaire par un « futur proche », moins déroutant pour les francophones.
On y trouve également, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « GEVONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Cette forme verbale est construite sur LE PLURIEL de son prétérit. (Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
Ce participe passé « GEVONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« zijn vriend »), à la fin de la phrase subordonnée (introduite par « TOT » remplaçant « TOTDAT »).
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 11B - Rajouté le 09/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn broeder (broer) is op het strand spoorloos verdwenen » (« Mon frère a disparu sans (laisser de) traces sur la plage »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERDWENEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERDWIJNEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Notons que, aux temps composés, l’auxiliaire n’est PAS toujours LE même qu’en français. C’est, en général, le cas quand il y a une notion de MOUVEMENT.
Aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « op het strand » et « spoorloos »), à la fin de la phrase.
Rappelons aussi que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que ce participe passé « VERDWENEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit et, dans ce cas-ci, est même identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : POL VINDT SCHAT HANSEN - Rajouté le 08/04/2012

Description : Nous nous sommes inspirés du livre-jeux « HET FANTASTISCHE LABYRINT » (par ailleurs téléchargeable gratuitement à partir de ce même site www.idesetautres.be) créé sous l’égide de l’équipe du groupe ECRILIRE (édité au Centre technique de l’Enseignement de la Communauté française de Belgique, à Frameries) et conçu par Marie-Claude HUBERT et Willy PAQUET (EPESCF de Nalinnes) pour adapter cette BD « Pol vindt een schat » (« Pol, Pel en Pingo = Petzi » N°5, 1970) de Carla & Vilhelm HANSEN.
Convertir une histoire de 32 pages à 3 lignes en un opuscule de 12 pages de 3 lignes est un bon exercice de synthèse et le travail de déconstruction puis de reconstruction a contribué à l’apprentissage de la langue néerlandaise pour les élèves de la classe de 1ère « générale » qui y ont participé.
Ces extraits sont copyright Carla & Vilhelm HANSEN (et éditions CASTERMAN) 1951-2012.
N’hésitez pas à visiter le site officiel : http://www.rasmusklump.dk/.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 11A - Rajouté le 08/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Winnetou) heeft met de zilverbuks zijn onschuld bewezen » (« Il a prouvé, avec la carabine en argent, son innocence »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEWEZEN », participe passé provenant de l’infinitif « BEWIJZEN », lui-même construit sur l’infinitif « WIJZEN » (ayant une autre signification), qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit et, dans ce cas-ci, est même identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons également que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. « BEWEZEN » est donc bien un participe passé même si sa forme verbale est identique au pluriel de l’O.V.T. (ou « prétérit »).
Aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « met de zilverbuks » et « zijn onschuld »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 9 et 11 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : POL BOER GEITEBAARD HANSEN - Rajouté le 07/04/2012

Description : Nous nous sommes inspirés du livre-jeux « HET FANTASTISCHE LABYRINT » (par ailleurs téléchargeable gratuitement à partir de ce même site www.idesetautres.be) créé sous l’égide de l’équipe du groupe ECRILIRE (édité au Centre technique de l’Enseignement de la Communauté française de Belgique, à Frameries) et conçu par Marie-Claude HUBERT et Willy PAQUET (EPESCF de Nalinnes) pour adapter cette BD « Boer geitebaard » (« Pol, Pel en Pingo = Petzi » N°17, 1970) de Carla & Vilhelm HANSEN.
Convertir une histoire de 32 pages à 3 lignes en un opuscule de 12 pages de 3 lignes est un bon exercice de synthèse et le travail de déconstruction puis de reconstruction a contribué à l’apprentissage de la langue néerlandaise pour les élèves de la classe de 1ère « générale » qui y ont participé.
Ces extraits sont copyright Carla & Vilhelm HANSEN (et éditions CASTERMAN) 1951-2012.
N’hésitez pas à visiter le site officiel : http://www.rasmusklump.dk/.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 10D - Rajouté le 07/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wie bracht hem op de hoogte als hij op zee was ? » (« Qui le mit au courant s’il était sur la mer = en mer ? »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « BRACHT », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Notez l’expression « op de hoogte brengen » = « mettre à la hauteur » => « mettre au courant ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La forme verbale « WAS » fait l’objet, dans la phrase subordonnée (introduite par « ALS »), d’un REJET, derrière le complément, à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : RIJMENDE PAARD SUSKE EN WISKE VANDERSTEEN - Rajouté le 06/04/2012

Description : Nous nous sommes inspirés du livre-jeux « HET FANTASTISCHE LABYRINT » (par ailleurs téléchargeable gratuitement à partir de ce même site www.idesetautres.be) créé sous l’égide de l’équipe du groupe ECRILIRE (édité au Centre technique de l’Enseignement de la Communauté française de Belgique, à Frameries) et conçu par Marie-Claude HUBERT et Willy PAQUET (EPESCF de Nalinnes) pour adapter cette BD « Het rijmende paard » (« Suske en Wiske » N°96, 1962) de Willy VANDERSTEEN.
Convertir une histoire de quelque 40 pages à 4 lignes en un opuscule de 12 pages de 3 lignes est un bon exercice de synthèse et le travail de déconstruction puis de reconstruction a contribué à l’apprentissage de la langue néerlandaise pour les élèves de la classe de 2ème « générale » qui y ont participé.
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait notamment à des élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 10C - Rajouté le 06/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Taho) spreekt met gespleten tong » (« Il parle avec une langue fourchue »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESPLETEN » utilisée comme adjectif épithète, participe passé (utilisé e. a. au passé composé ou V.T.T.) provenant de l’infinitif « SPLIJTEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : HONDENPARADIJS SUSKE EN WISKE VANDERSTEEN - Rajouté le 05/04/2012

Description : Nous nous sommes inspirés du livre-jeux « HET FANTASTISCHE LABYRINT » (par ailleurs téléchargeable gratuitement à partir de ce même site www.idesetautres.be) créé sous l’égide de l’équipe du groupe ECRILIRE (édité au Centre technique de l’Enseignement de la Communauté française de Belgique, à Frameries) et conçu par Marie-Claude HUBERT et Willy PAQUET (EPESCF de Nalinnes) pour adapter cette BD « Het hondenparadijs » (« Suske en Wiske » N°98, 1962) de Willy VANDERSTEEN.
Convertir une histoire de quelque 40 pages à 4 lignes en un opuscule de 12 pages de 3 lignes est un bon exercice de synthèse et le travail de déconstruction puis de reconstruction a contribué à l’apprentissage de la langue néerlandaise pour les élèves de la classe de 2ème « générale » qui y ont participé.
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait notamment à des élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1952-2012.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 10B - Rajouté le 05/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe heeft hij (Whonak) de doden gewroken ? » (« Comment a-t-il vengé les morts ? »).
On y trouve la forme verbale « gewroken », participe passé provenant de l’infinitif « WREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : SCHAT VAN BEERSEL SUSKE EN WISKE VANDERSTEEN - Rajouté le 04/04/2012

Description : Nous nous sommes inspirés du livre-jeux « HET FANTASTISCHE LABYRINT » (par ailleurs téléchargeable gratuitement à partir de ce même site www.idesetautres.be) créé sous l’égide de l’équipe du groupe ECRILIRE (édité au Centre technique de l’Enseignement de la Communauté française de Belgique, à Frameries) et conçu par Marie-Claude HUBERT et Willy PAQUET (EPESCF de Nalinnes) pour adapter cette BD « De schat van Beersel » (« Suske en Wiske » N°111, 1971) de Willy VANDERSTEEN.
Convertir une histoire de quelque 40 pages à 4 lignes en un opuscule de 12 pages de 3 lignes est un bon exercice de synthèse et le travail de déconstruction puis de reconstruction a contribué à l’apprentissage de la langue néerlandaise pour les élèves de la classe de 2ème « générale » qui y ont participé.
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait notamment à des élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1952-2012.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 10A - Rajouté le 04/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Taho) is door de lucht hiereen gevlogen » (« Il a volé dans les airs de ce côté-ci »).
On y trouve la forme verbale « gevlogen », participe passé provenant de l’infinitif « VLIEGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « gevlogen » se construit sur le pluriel du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Il est à noter que les verbes qui rendent une notion de mouvement n’ont pas, aux temps composés, le même auxiliaire (« AVOIR ») qu’en français : ils préfèrent l’auxiliaire « ETRE ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : PRENDRE NEMEN TAKE TOMAR OTT OVT VTT - Rajouté le 03/04/2012

Description : Nous proposons ici en langue néerlandaise le verbe « PRENDRE – NEMEN – TAKE – TOMAR » à trois temps de l’indicatif : le présent (ou O.T.T.), le prétérit (ou O.V.T.) et la forme du participe passé (au passé composé ou V.T.T.). Les verbes, construits à partir du verbe de base, se conjuguent généralement comme lui. Il est prononcé par beaucoup de personnes différentes.
Ce verbe est extrait de l’outil pédagogique que nous avons conçu (cédérom de quelque 8.000 fichiers en juin 2005, couronné d’un Prix « e-Learning / e-Twinning »; clé USB de 4 GB en février 2008, couronnée d’un « Trophée des Innovations en Education » et contenant à ce jour quelque 35.000 fichiers), où se trouvait notamment une structure en arborescence concernant les verbes.
Nous y avons adapté en format MP3, pour aider les élèves « primo-arrivants » à s’intégrer linguistiquement dans leur pays d’accueil, des phrases provenant de diverses méthodes et s’appuyant parfois sur de l’iconographie.
Dans ce cas particulier du verbe « NEMEN », nous avons abondamment puisé, pour le prétérit (ou O.V.T.), dans Nederlands I / II – AAC Talenonderwijs, développement du Language through pictures course, imaginé par I. A. RICHARDS et Christine GIBSON de l’Université de Harvard et préparé par J. M. KLERCKX du Linguistic Institute de l’Université de Louvain. Publié en 1979 par Philips AG Zurich, avec l’autorisation du Language Research Inc. Massachusetts. Adapté par nos soins sous le titre Woordenschat in context (WC), dont les 51 leçons peuvent être respectivement téléchargées à partir du même site www.idesetautres.be sous les titres WC01 à WC51, totalisant quelque 2.300 phrases.
Le but de notre initiative est de mettre gratuitement à la disposition de ces élèves « primo-arrivants » de courtes phrases dans le contexte desquelles les formes verbales sont conjuguées et que les apprenants peuvent transférer sur un lecteur MP3 et, le cas échéant, écouter lors d’un trajet entre leur domicile et leur lieu de travail (ou école).
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné. Nous espérons toutefois qu’ils considéreront notre adaptation comme un hommage à leur propre travail.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 8B - Rajouté le 03/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (de Witchinoks) zullen hun doden niet ongewroken laten » (« Ils ne laisseront pas leurs morts non vengés »).
On y trouve la forme verbale « ONgewroken », participe passé (utilisé ici comme adjectif) provenant d’un infinitif « ONwreken » (qui n’existe pas ou n’existe plus), lui-même construit sur « WREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Signalons que le préfixe « ON- » rend souvent une notion contraire de l’autre mot.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 3Z 4A - Rajouté le 02/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ver daarvandaan deed hij (Old Shatterhand) een ontstellende ontdekking » (« Loin de là, il fit une découverte effrayante »).
On y trouve notamment la forme verbale « DEED », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « DOEN », verbe dit « à particule séparable », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« ver daarvandaan »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « DEED ») et passant donc derrière lui.
N’oublions pas non plus que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « ONTSTELLEN » => « ontstellenD ». Ici, ce participe présent est utilisé comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder, prend la terminaison majoritaire « E » => « ontstellenDe ontdekking ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 3 et 4 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 8A - Rajouté le 01/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Alle hoop op redding is vervlogen » (« Tout espoir de sauvetage est envolé »).
On y trouve la forme verbale « VERvlogen », participe passé provenant de l’infinitif « VERvliegen », lui-même construit sur « VLIEGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux (alors que le participe passé de « VLIEGEN » débute bel et bien par « GE- » : « GEvlogen »).
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 7D - Rajouté le 31/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij wordt aan palen gebonden » (« Il est attaché à des poteaux »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « BINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEBONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« voor de sachem »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 7C - Rajouté le 30/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij sprak met gespleten tong » (« Il parla avec (une) langue fourchue »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « SPRAK », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « SPREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi la forme verbale « GESPLETEN » utilisée comme adjectif épithète, participe passé (utilisé e. a. au passé composé ou V.T.T.) provenant de l’infinitif « SPLIJTEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit ou O.V.T. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 7B - Rajouté le 29/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij beweert dat hij je hem zag doden » (« Il prétend qu’il te vit le tuer »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « ZAG », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi, dans cette phrase subordonnée donc (introduite par « DAT »), le REJET de la forme verbale « ZAG » derrière les compléments (« JE » et « HEM »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 7A - Rajouté le 28/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij wordt voor de sachem gebracht » (« Il est amené devant le sachem »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le SINGULIER du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEBRACHT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« voor de sachem »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 6E - Rajouté le 27/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij werd inmiddels naar het dorp gebracht » (« Il fut entretemps amené au village »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le SINGULIER du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEBRACHT » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« inmiddels » et « naar het dorp »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 6D - Rajouté le 26/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik liet de beer begaan » (« Je laissai l’ours agir »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « LIET », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi le REJET de la forme verbale « BEGAAN » derrière le complément (« de beer »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 6C - Rajouté le 25/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kon hem (Motha) redden » (« Je pus le sauver »).
On y trouve notamment la forme verbale « KON », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « KUNNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi le REJET (exigé par l’auxiliaire de mode « KUNNEN ») de la forme verbale « REDDEN », derrière le complément « HEM », à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 6B - Rajouté le 24/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik vond koper » (« Je trouvai du cuivre »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « VOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que l’article partitif « DU » n’est pas « rendu » (il est ici inexistant) dans la plupart des langues germaniques.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 5C - Rajouté le 23/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jullie wilden ons laten geloven dat de beer hem neersloeg » (« Vous vouliez nous laisser croire que l’ours le terrassa »).
On y trouve notamment la forme verbale « WILDEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « WILLEN », qui faisait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » mais qui évolue vers un verbe régulier.
On y trouve aussi, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « NEERsloeg » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « NEERslaan », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « SLAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Dans cette phrase subordonnée, la forme verbale « NEERsloeg » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HEM »), à la fin de la phrase.
Si la forme verbale « NEERsloeg » n’avait pas été utilisée dans une phrase subordonnée, on aurait pu avoir : « de beer sloeg hem NEER » (avec REJET de la particule séparable « NEER », derrière le complément « HEM », à la fin de la phrase).
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 5B - Rajouté le 22/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het bleekgezicht was hier niet alleen » (« Le visage pâle n’était pas seul ici »).
On y trouve notamment la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 3A - Rajouté le 21/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De beer heeft de man geroken » (« L’ours a senti l’homme »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEROKEN », participe passé provenant de l’infinitif « RUIKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEROKEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de man »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 29G - Rajouté le 20/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We spraken af later (af) opnieuw te ontmoeten » (« Nous prîmes rendez-vous pour nous rencontrer à nouveau plus tard »).
On y trouve notamment la forme verbale « spraken … AF », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « AFspreken », lui-même construit sur le verbe « SPREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AFspreken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (par exemple « gisteren »), à la fin de la phrase principale, ici très courte (puisque « opnieuw te ontmoeten » peut être considérée comme une « subordonnée infinitive »).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 29F - Rajouté le 19/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij bezat een vergift dat geen sporen nalaat » (« Il possédait un poison qui ne laisse pas de traces »).
On y trouve notamment la forme verbale « beZAT », O.V.T. ou prétérit provenant de l’infinitif « beZITTEN », lui-même construit sur l’infinitif « ZITTEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 29E - Rajouté le 18/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We hebben hen opgezocht » (« Nous les avons recherché »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPgezocht », participe passé de l’infinitif « OPzoeken », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPzoeken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « OPgezocht ».
Le participe passé « OPgezocht » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HEN »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que le participe passé « geZOCHT » se construit sur le singulier du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 28B - Rajouté le 17/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Men zou zeggen dat die kerels hier een samenkomst afgesproken hebben » (« On dirait que ces types ont pris rendez-vous pour une réunion ici »).
On y trouve notamment la forme verbale « AFgesproken », participe passé provenant de l’infinitif « AFspreken », lui-même construit sur le verbe « SPREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AFspreken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGEsproken ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 25D - Rajouté le 16/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kwam terug en verklaarde dat ik mijn taak had volbracht » (« Je revins et déclarai que j’avais accompli ma tâche »).
On y trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « kwam TERUG », construite sur le verbe « TERUGkomen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit (un complément éventuel comme « thuis » pouvant s’intercaler entre eux), et le REJET de la particule, derrière ce complément, à la fin de la phrase.
On y trouve aussi, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « volBRACHT », participe passé (utilisé au plus-que-parfait) provenant de l’infinitif « volBRENGEN », lui-même construit sur le verbe « BRENGEN » (donnant habituellement le participe passé « geBRACHT »), qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le singulier du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « volBRACHT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« mijn taak »), à la fin de la phrase. Il est à noter que la première syllabe de « volBRENGEN » (« VOL ») N’est PAS une particule séparable.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 19C - Rajouté le 15/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij nodigt je uit ons te vergezellen » (« Il t’invite à nous accompagner »).
Le verbe « UITNODIGEN » est un verbe dit « à particule séparable » et cela entraîne au présent (O.T.T.) en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, le complément « ONS » s’intercalant entre eux. Par ailleurs, « UITNODIGEN » introduit ici une sorte de subordonnée et engendre un « TE » pour exprimer (en mauvais français) « inviter … DE » et ce « TE » précède (comme en français) l’infinitif « VERGEZELLEN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 17C - Rajouté le 14/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je kreeg het bewijs dat de geesten wensen gerust gelaten te worden » (« Tu reçus la preuve que les esprits souhaitent être laissés en repos = en paix »).
On y trouve, d’une part, dans la phrase principale, la forme verbale « KREEG », O.V.T. (ou prétérit) construit sur le verbe « KRIJGEN » et faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve, d’autre part, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « GElaten », participe passé provenant de l’infinitif « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 13C - Rajouté le 13/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze zijn volledig verrast » (« Ils sont complètement surpris »).
On y trouve notamment, la forme verbale « VERRAST », participe passé provenant de l’infinitif « VERRASSEN », qui NE fait PAS partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « VERRASSEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera au participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 31E - Rajouté le 12/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik wist dat ze elk afzonderlijk zouden terugkeren » (« Je savais que, chacun séparément, ils reviendraient »).
On y trouve notamment la forme verbale « WIST » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « WETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), le REJET des formes verbales « ZOUDEN » (auxiliaire du CONDITIONNEL) et « terugkeren », derrière les compléments (« elk » et « afzonderlijk »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 31D - Rajouté le 11/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Van toen af heb ik me verborgen gehouden » (« Depuis, je me suis tenue cachée »).
On y trouve notamment la forme verbale « verborgen », participe passé (utilisé comme adjectif) provenant de l’infinitif « VERBERGEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également la forme verbale « GEhouden », participe passé provenant de l’infinitif « HOUDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEhouden » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« ME »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas non plus que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Van toen af »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici l’auxiliaire « HEB ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 31C - Rajouté le 10/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Degene (Grijze Uil) die ons moest begraven, durfde de hut niet binnenkomen » (« Celui qui devait nous enterrer, n’osa pas pénétrer dans la hutte »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « MOEST » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « MOETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Dans cette phrase subordonnée (introduite par « DIE »), on a un REJET de la forme verbale « MOEST », derrière le complément « ONS », à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 31B - Rajouté le 09/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik weerstond aan het gift » (« Je résistai au poison »).
On y trouve notamment la forme verbale « weerSTOND » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « weerSTAAN » (qui n’est PAS un verbe à « particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif « STAAN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 31A - Rajouté le 08/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De Grote Manitoe heeft niet gewild dat ik stierf » (« Le Grand Manitou n’a pas voulu que je meure »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « STIERF » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « STERVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Dans cette phrase subordonnée (introduite par « DAT »), on aurait un REJET de la forme verbale « STIERF », derrière un complément sous-entendu (« als mijn man », à la fin de la phrase,.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

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